Entre deux soupirs... [~libre]

Kozue descendit de la voiture de son père, mollement. Elle était fatiguée, cette habitude à toujours préparer à la dernière minute lui jouerai des tours, comme la soirée dernière. Sa valise était lourde, bourrée de différents vêtements et surtout faite vers dix-huit heures, la veille de son départ. Elle avait, en plus, mal dormit. Entre excitation et questions inutiles, Kozue ne pouvait se faire à l'idée qu'elle partait au lycée, et dans un lycée japonais, de surcroit. Elle regarda alors le bâtiment, banal, au premier abord, et sourit discrètement. Elle n'allait pas s'ennuyer, et, vivement, Kozue se retourna vers la porte arrière de la voiture. Là se trouvait son véritable trésor. Une fois la portière ouverte, Kozue plongea ses bras et le haut de son corps, avant de sortir sa petite valise, bourrée à bloc. Et son sourire s'intensifia lorsque son violoncelle suivit le pas. Elle avait entendu parler d'un club de musique, et, sur la fiche d'inscription, une case à cocher avait rendue Kozue folle de joie. Elle fixa alors son instrument et vérifia que la cellule amplificatrice était là. Elle profiterait d'amplis puissants pour jouer quelques choses qu'elle tirait de son imagination sans bornes.
Mais ce fut une guitare, dans une housse noire, qui suivit. Une véritable fierté, une gibbson, achetée dans une brocante en France, à un prix incroyable. Elle y tenait comme un bébé tient à son doudou. Son père posa alors sur elle un regard attristé, inspirant presque la pitité, tandis que Kozue enfilait un chewing-gum entre ses dents. Elle enfila le violoncelle sur une épaule, et souleva la valise maladroitement, tandis que, dans sa main droite, trônait la guitare. Son père ne cessant de la dévisager, elle se força à faire son plus beau sourire, et soupira. Partir du nid était désiré, pour elle, mais pas forcément pour ses parents. Son père la guida jusqu'au portail, avant de se retourer lestement, et d'agiter la main, pour faire genre que tout allait bien. Kozue fit de même, et poussa d'une épaule la barrière métalisée. S'offrit alors à elle un chemin bordé de plantes, desert, étrangement, qu'elle parcourut promptement. Elle se retrouva donc devant les trois marches menant vers le hall, première pièce visitée lors de son entrée à Kenkyukai.
Elle posa ses deux pieds sur le carrelage, et se retrouva là, perdue, avec ses instruments sur le dos et son expression étonée. Embrasant le hall imposant d'un regard vide, elle lâcha sa valise qui s'écrasa lourdement à ses pieds. Elle ne savait où aller, ni comment, et sa seule envi était de s'asseoir sur un fauteuil moelleux. Elle soupira, et inspira lentement.

Soudainement, la fatalité la frappa en plein visage. Avec une voix aussi faible et surtout aussi peu de motivation affichée, Kozue ne risquait pas d'ameuter les différents lycéens ! Elle fronça les sourcils, et se contenta de replacer une de ses mèches de cheveux, et de faire quelques pas, pour se retrouver au milieux du hall.

Elle avait traîné sa valise jusqu'au centre, de manière à ce qu'on la voit peu importe l'endroit d'où on arrivait, et avait posé d'une manière très délicate ses instruments contre un mur, où elle s'adossa. Elle aurait aimé avoir une cigarette entre les lèvres, mais elle devrait sortir, et risquait de ne pas pouvoir faire vite, et déballer sa guitare pour entammer quelques riffs. Kozue lança sa tête en arrière et celle ci se cogna doucement sur le mur. Ses doigts s'agitèrent machinallement, et Kozue comprit qu'elle ne pourrait rien faire sans cigarette. Alors elle tâta se poche lentement, où son zipo et où ses cigarettes trônaient. Mais un coup d'oeuil rapide sur sa guitare la fit changer d'avis, et elle se contenta de glisser le longs du mur. Optant pour une pause nonchalante, Kozue sortit son Ipod bourré de musiques et enfonça ses écouteurs dans ses oreilles délicates. Augmentant le volume, son esprit divagua quelques secondes avant que ses pieds ne tapent un tempo rapide. Elle se reprit bien vite tandis que ses doc Marteen's cessèrent de marteler le sol, et releva la tête. Un mouvement léger attira son attention. Quelqu'un se tenait là, appuy contre un mur et semblait lancer des regards en coin à la jeune fille, qui sourit faiblement. Peut être faisait elle peur, avec son style bien souvent critiqué. Mais elle ne voulait porter son uniforme pour sa première journée ici. Et ls slims si à la mode, tous ces vêtemens moulants et vulgaires ne l'interessaient pas. Ils ne lui allaient pas, et la métaient mal à l'aise. Et les gens devraient ce contenter de son style actuel. La musique changea... Woman, des Wolfmother. Si Kozue se laissait aller, elle ne serait pas bêtement assise ici. Les paroles se déssinaient sur ses lèvres, tandis que sa tête se redressait. Il la regardait toujours, comme si il attendait quelque chose et Kozue fronça les sourcils.



Kozue agita la main en dirrection du garçon, et se reconcentra sur ses écoutes. Il viendrait si il voulait, mais elle n'irait pas vers lui. De toute manière, qu'avait elle à lui dire ? "Salut, moi c'est Kozue, j'suis un peu perdue, tu pourrais me dire où je dois aller ?" ? Bah, très peu pour elle, merci. Elle avait passé l'âge de se baser sur le autres. M'enfin, elle devait trouver un endroit où poser ses encombrants bagages et surtout fumer. Si il savait, il lui dirait quand il viendrait. Kozue se surprit à se demander si son inscription au club de musique avait été pris en compte. Elle s'en voudrait d'attérire au club de sport, elle qui detestait ça plus qu'autre chose. Kozue secoua la tête, et la plongea dans ses genoux qu'elle replia contre sa poitrine.

Kozue n'entendit les pas arriver, et c'est lorsqu'elle sa main se griser qu'elle comprt qu'il c'était avancé. Elle redressa legèrement la tête, fermant un oeil qui prenait la lumière et lançant un regard perdu sur le visage de l'inconnu. Elle soupira. Pour le voir, elle devait se lever,chose qu'elle ne tenait à faire. Elle soupira et replaca une mèche de cheveux, sans se redresser. Elle coupa sa musique qui, maintenant, hurlait contre ses tympans, et secoua ses doc's. Il était peu bavard, et avec cette expression désagréable, presque superficiel. Elle étira ses lèvres en un léger sourir, quelque peu forcé et inclina la tête en guise de bonjour. Il lui adressa la parole, Kozue écouta peu, et se concentra ur sa voix. Une voix grave, qui pourrait donner un joli chant, avec un peu de puissance. Elle crut comprendre qu'il lui demandait si elle avait besoin d'aide pour trouver les chambres au lieu de rester assise ici. Elle se releva alors de manière fort gracieuse, dévelopant sa petite taille et ses formes généreuse, tandis que sa main passait dans ses cheveux lisses. Elle posa un regard dédaigneux dans celui faussement souriant du jeune homme. Ouais, il était canon, mais sinon, il semblait vachement antipathique. Kozue répliqua lentement.

"Ouais, nan, merci. J'ai pas tellement besoin d'aide, je f'rai l'tour du lycée pour choper les chambres. Par contre, ce dont j'ai besoin là tout de suite, c'est de ma guitare et d'une cigarette donc t'as pas un endroi où j'pourais rapide me traîner mes affaires et jouer, une clope entre les lèvres ?"

Non, Kozue ne comptait pas changer de comportement avec un inconnu. Bien que bien plus petite que lui, elle gardait ses expressions désinteressées et provoquantes, qui étaient naturelles chez elle. Son regard vide parcourut le corps joliement façoné de l'inconnu, et s'arrêta sur son visage. Il y avait quelque chose de faux, chez lui, surement une personalité superficielle, comme elle le soulignait tout à l'heure. Peut être faisait-il partie de ces gens pour qiu seule la réputation avait de la valeur, et permettait de réussir. Un dégoût profond s'empara de la jeune femme, qui saisit la housse de sa guitare et posa une seconde main sur la crosse de son violoncelle, tandis que son pied passa dans la sangle de sa valise, la poussant devant Kozue. Avec un regard interogateur, elle regarda le jeune homme, qui ne bougeait que très peu.

"Et... Tu comptes vraiment rester planté là ? Ouah, j'ai pas l'habitude de poser autant de question d'un coup, mais t'sais j'suis dans l'club de musique, et tu saurais pas où c'est par hasard ?"

Elle posa de nouveau ses yeux dans les siens, vide, et attendit vaguement une réponse, silencieusement. Tandis que, dans son pantalon large, ses jambes frémirent et que, dans son dos, un frisson la parcourut, son regard se posa sur une dalle pour ne plus en bouger.

Instinctivement, la main de Kozue se porta sur sa poche gauche, là où vivaient ses cigarettes et son zipo. Le souffle de la jeune fille devenait faible, et, autours d'elle, tout disparassait, y compris le nouveau venu. Elle ne remarqua ses déplacements, ne le sentit pas derrière elle et ses mots s'envolèrent loin de Kozue. Mais sa main fouillant dans sa poche devenait froide et elle revint soudainement à la réalité. Il parlait d'ancêtres qu'elle irait rejoindre, et ce fut lorsque Kozue posa un regard vide sur la pointe de la lame glacée qui se tenait non loin de sa peau mat que la jeune fille ouvrit de grands yeux, où une larme perlait au coin de ses cils. Ce mec était fou, ou alors blageur, mais Kozue ne voulait rester devant lui. Elle était, comme il le disait, sans défense, et prise dans un piège violent. Elle ne pourrait rien faire. Sa main traînait sur le jean large qui cachait son joli corps, et l'autre tremblait sur son menton. Kozue était terrifiée, et fit son possible pour ne pas laisser transparaître la moindre peur dans ses gestes. Elle baissa la tête, laissant ses cheveux naturellement noirs tomber devant elle, se frotter contre la lame et retint en silence ses larmes un frisson parcourut ses hanches et son échine. Elle posa une main légère sur celle de l'inconnu et laissa sa voix délicate envahir le hall.



Elle se sentait compressée entre le corps bien façoné du jeune homme et la lame qui ne flanchait pas. Elle n'avait pas d'argent, autre que ces quelques pieces où alors un petit billet, mais si cela pouvait la tirer de ce mauvais pas, elle lui donnerait volontiers. Elle qui ne voulait qu'un coin tranquille pour sortir sa Gibbson et son paquet de clopes, elle se retrouvait en danger d'mort dans un ocin sombre du hall.



Elle devait faire pitié, à supplier un inconnu comme ça, elle devait être même totallement ridicule avec ses manières préhistoriques et completement tapée de marchander. Elle était sure que ça ne marcherait jamais, et commença à entamer quelques prières, qui se transformèrent bien vite en pensées sombres. Elle maudissait ses parents, et si ils l'entendaient, et en était heureuse. C'était de leur faute si elle se retrouvait coincée là, si ils ne l'avaient pas envoyée à Kenkyukai, elle serait dans un lycée normal, avec des gens normaux et surement une cigarette entre les lèvres ! Elle ravala ses larmes une derière fois et commença à trembler de colère.

Kozue souffla. La main du jeune homme s'était lentement emparé du reste de son argent, mais avait laissé ses trésors en place. Elle regarda alors l'exterieur et ses affaires. Supposant qu'on remarquerait quelqu'un avec une guitare, ou pire, un violoncelle, et déduisant que voler une valise de jeune fille était peu interessant, elle sortit son paquet de cigarrette et son zipo, et se posa sur la dernière marche menant au hall. Elle saisi le filtre orangé entre se lèvre pincées et alluma le bout blanc. Aspirant un peu de ce délicieux mélange de goudron et autres substances peu conseillées, Kozue sourit machinallement. Cette histoire avait été jetée dans un coin de sa tête, et elle s'en voulut de ne pas avoir quitté son poste aux côtés de ses affaires plus tôt pour fumer tranquillement. Elle n'aurait peut être pas été abrodée si violement par le jeune homme, et serait certainement déjà dans sa chambre ou dans une pièce au calme. Tout en enlevant la cendre grisâtre qui s'amassait au bout de sa cigarette, Kozue secoua la tête. Il était resté là, appuyé, à l'endroit où leurs regards s'étaient croisés, un peu plus tôt. Kozue pouffa silencieusement de rire, avant de partir dans un éclat de rire cristalin. C'était vraiment trop con, elle rencontrait un mec, et trente secondes après il la menacait avec une lame. Elle tentait vainement d'étouffer ses rires incessant, mais elle ne parvenait qu'à se rendre ridicule en se dandinant tout ce qu'elle pouvait. Elle eut bientôt finie sa clope, et se redressa tout aussi gracieusement que la dernièe fois et rejoignit ses affaires, tout en débalant la feuille que le jeune homme lui avait donné. Ses rires s'étaient doucement calmés mais elle ne pouvait s'empêcher de sourir, ce qui devait la rendre parfaitement ridicule. Mais sur le plan qu'elle avait reçut des mains, ou presque, le club de musique se trouvait juste au dessus, tandis que le toit se trouvait loin. Les chambres quand à elles n'étaient pas trop loin, mais en conscidérant ses bagages, cela deviendrait long, et s'y rendre maintenant emballait peu Kozue. Elle repéra la cafétéria, et d'autres lieu importans, ou pas, et posa son regard vide sur le jeune homme. Alors sa voix, redevenue comme d'habitude, c'est à dire désintéréssée de tout, envahit le hall doucement.



Kozue soupira, et pensa soudainement qu'elle ne conaissait pas son nom, et que ça serait un réel plaisir de le reconnaître dans les couloirs, sans hurler son nom pour autant. Elle n'aimait que tout le monde sache qu'elle conaissait le prénom de quelqu'un, et elle pourrait passer pour une grosse tarée qui est heureuse d'avoir un seul ami. Alors Kozue se rapprocha de lui, chargée, et posa délicatement son instrument aux pieds du jeune homme, avec un sourir mesquin, et une position provocatrice.

Kozue s'attendait tellement à la réponse qu'elle ne put que sourir alors que, sèchement, il l'envoya ballader. Sa main se porta à son front, tandis que l'autre tenait la gibbson. Elle soupira, posa tout son matériel tandis que le jeune homme s'en allait tranquillement. Elle enfonça de nouveau son Ipod dans ses oreilles délicates et rattrapa la manche de l'inconnu. Elle lui tendit un écouteur et posa son regard vide dans celui du garçon, et se tut. Ses actions, comme d'habitude, semblaient sans sens, et sans relations avec celles d'avant, mais très marquées. Si quelque chose était musclé chez elle, c'était bien ses doigts, et ceux ci tenaient fermement la manche du jeune homme, tirant sur celle ci pour qu'il s'approche et le forcant legèrement à s'asseoir à même le sol. Tandis que, dans l'écouteur, Kamelot rugissait son solo de guitare de la Marche De Mephisto. Le regard de Kozue se voulait devenir dur, effet du morceau sur la jeune fille. Elle ne lâchait le jeune homme, mais cessa de tirer. Les ongles de la jeune femme se plantèrent alors soudainement dans le bras de l'inconnu, tandis que celle ci baissait la tête vers le sol et que les paroles étaient vomies par l'écouteur, tenu de manière si droie qu'elle en parassait parfaite, et menacant presque celui qui était invité à écouter avec Kozue.
La jeune femme s'assit, sans lâcher la manche, et tandit à nouveau l'écouteur. Elle ferait ainsi jusqu'à ce qu'il accepte de cesser de se pencher de manière aussi ridicule et prendrait l'écouteur pour, comme Kozue apprécier l'instant musical. Elle demanda alors d'une voix faible, ne s'entendant pas elle même, de lui dire ce qu'il aimait écouter. Les yeux clos, ses doc's martelant le sol en rythme, tandis qu'une second morceau passa.

"Si t'aimes pas, dis le moi. Mais je compte pas te lâcher tant que tu seras pas assis avec l'écouteur que je te tends dans l'oreille."

Kozue sentit un courant froid traverser le vide qui les séparait. Elle ouvrit un oeil et le planta sur la poitrine de l'inconnu. Son nom ne l'interessait pas plus que ça, et elle secoua la tête, remettant ainsi une mèche en place. Celle ci se remit presque instentanéent là où elle était, et Kozue soupira. Il ne semblait pas décidé à faire lâcher prise à Kozue. Elle était par ailleures persuadée que, une fois assis et libre, il partirait en courant. Alors elle resterait là, et attendrait le surveillant. Ce qu'elle pouvait être bête. Ses yeux s'ouvrirent alors soudainement et fixèrent ceux du jeune homme, avant qu'un sourir presque sadique n'étire ses lèvres.

"Au pire, plante moi, je te lâcherai."

Elle rigola, amusées bêtement par ses propres mots et secoua la tête. A quoi bon provoquer ce pauvre mec, il ne semblait interessé que par sa propre personne. Mad Season résonna, et les ongles de la jeune fille sortir de la peau du jeune homme. Sa main tomba, et se porta à ses lèvres tandis qu'un toussotement léger secoua le reste de son corps, et que ses sourcils se froncaiet délicatement. Elle fermit à nouea les yeux, et laissa l'écouteur par terre, là où Zeshin pourrait s'asseoir s'il le décidait enfin.

Kozue sourt, satisfaite. Elle récupéra son écouteur tandis que ceux du jeune homme résonnèrent au creux de ses oreilles. Kozue retint un nouvel éclat de rire, tandis qu'elle se disait que ce gens était décidément bien amusant. Tout en secouant la tête, son corps s'étira de tout son long. Ses fesses commencaient à devenir ésagréablement insensibles, et cette sensation de carrelage froid envahit bientôt le reste du corps de la jeune fille, tandis que son dos devenait douloureux. Ses mains la démengeaient, elle devait absolument gratter deux ou trois morceaux sur sa guitare, mais alors que Tryo envahissait ses oreilles, sans s'en rendre compte, ses doigts plaquèrent quelques accords accompagnés de notes légères dans le vide, alors que son autre main passaient d'une corde imaginaire à l'autre et que sa tête hôchait, pulsation régulière et entraînante de "Serre Moi". Elle ouvrit alors les yeux, se rendant compte de sa bêtise, et posa son regard nu sur le visage de l'inconnu. Ses lèvres déssinaient les paroles de ce qu'il écoutait, et il fit inconsciement sourir Kozue. Elle retourna à ses écoutes, tandis que, sans qu'elle ne le voit, lui, cessait de chantonner. Kozue soupira, et se redressa lentement, tout en saisissant la guitare. Elle passa la sangle sur son épaule gauche, tandis que sa main du même côté soulevait le violoncelle. La poignée de sa valise attérit dans sa main droite, alors que son Ipod trônait dans une de ses nombreuses poches. Elle fit un ou deux pas vers 'avant, et agita la main vers le jeune homme en guise d'au revoir. Ses pas lents mais légers, malgrès les charges qu'elle portait, se dirigaient vers le couloirs menant aux chambres.