Un livre à lire( pv Kozue Himito).

Invité

Isano Kurahi poussa la porte verte de la pièce mystérieuse située au premier étage. Il avait entendu parler de cet endroit, gigantesque et majestueux paraîtrait-il. Il ferma doucement en prenant soin de ne pas claquer le panneau d’ouverture qui malgré lui, remua légèrement et se remit finalement à sa place, contre la porte.
Sur l’écriteau était écrit à l’encre de chine stylisée, et entouré de dessins et d’images peintes, le mot significatif en idéogramme japonais « Bibliothèque ». Les gravures autour reflétaient tel à l’argent.
Isano s’élança tranquillement dans la salle et s’arrêta net, bouche bée. La salle, carrée aux coins arrondis était couverte de partout d’étagères remplies de livres de toutes sortes aux reliures colorées différentes et luisantes de perfection et de ménage minutieux. Les numéros de série sur la tranche étaient dorées de façon à être voyant.
A sa gauche et sur un mur et demi, les romans se dressaient fièrement leurs codes compris entre 500 et 700. Peu loin d’eux trônaient les encyclopédies aux formes rectangulaires et de couleur rouge chatoyante et les dictionnaires de langues colorés de manière à mettre en valeur les deux langues étudiées à l’intérieur. Tous les bouquins servant à aider pour les cours et autres pénibles travaux scolaires étaient disposés sur le mur droit tout près des tables pour pouvoir travailler dans le silence et le calme. Enfin les bandes dessinées se plaçaient au centre dans des boîtes compartimentés et classées par thème comme l’heroic-fantasy et la science-fiction.
Isano remarqua notamment que l’entrée étaient « surveillée » par deux bornes magnétiques qui, au contact d’un livre non approuvé comme emprunté par les bibliothécaires, sonnaient et tintaient comme une cloche sourde pour signaler à la pièce entière le délit. La serrure se bloque aussi pour empêcher l’intrus de sortir.
Il se dirigea vers sa classe d roman favori ; les romans fantastiques. Il chercha le troisième tome d’une série de livre qu’il aimait beaucoup mais ne le trouva point. Il chercha sur un ordinateur qui l’avait emprunté et quand pour calculer quand il l’aurait et il ne trouva rien….
Le roman devait se trouver dans la bibliothèque.
Il se remua les méninges quand une voix féminine l’interpella.

Invité

Je ne savais pas réellement où j'allais, ni pourquoi, mais mes pas se dirigeaint bêtement vers ce couloir illuminé par le soleil vif. Il m'agressait, ce soleil stupide, et me faisaient plisser les yeux sans grandes raisons apparentes. J'avais beau tenter de mettre mes cheveux sur mon front pour éviter ce désagrément, rien n'y faisait, j'avais toujours un oeil bléssé par la lumière blanche. C'est pourquoi je poussai la pemière porte qui tomba sous ma main curieuse, et entra en silence. Un court instant je me deandai où j'étais. Salle de classe vide ? Toilettes ? Local technique ? Je n'en savais rien, ou peut être que le silence était bien présent. J'ouvris enfin les yeux, et cligna ceux ci quelques fois avant de laisser mes bras le long de mon corps. Là, en face de moi, se tenaient, fières comme des fleurs des champs, des armoires remplies de livres aux dos colorés, se serrant les uns les autres et renfermant les plus profonds secrets. A ma droite, une jeune dame s'affairait sur un clavier sale et rentrait quelques données que je pus lire en m'arrêtant devant son bureau. J'avais rapidement compris que j'étais dans la bibliothèque, et j'eus du mal à intepeler la jeune dame au chignon parfaitement tiré pour éviter tout bruit prasite. Mais, bientôt, devant le peu d'interet qu'elle m'accorda, je me sentis obligée de râcler ma gorge, et la forca à relever la tête. Elle posa sur moi un regard indigné, comme si j'avaisdit la plus grosse des méchancetés méchantes. Je me contentais de lui rendre la pareil en lui demandant où se trouvaient l'étagère de litérature contemporaine. Elle détendit son visage, et, en silence, pointa un doigt incertain dans une dirrection peu précise. Je n'insistais pas, et entreprit de chercher.

La partie fut bien plus dure que ce que j'imaginais. J'étais passée par les romans romantiques, les fantastiques, mais les rayons étant aussi déserts que l'aide que m'avait apportée cette idiote de bibliothécaire, et je finis par tourner en rond, n'éssayant même pas d'être discrète. Je m'enervais en silence, laissant à mon crâne le soin de lancer le nombre de jurons inimaginables que j'avais la chance de connaître, et pourtant, une silhouette se déssina sur l'une des étagères, celle des livres fantastique. Ratrapant maladroitementle pas que j'avais lancé, je fis claquer ma chaussure sur le parquet ciré, ce qui passa pour une bruit extrêmement nuisible auprès de cette stupide femme devant son écran. Je lui tirai la langue, et m'approcha de la personne.
C'était un jeune homme au regard excité par les livres se dressant devant lui, et à la posture certaine. Un mec avec qui je ne parlerai pas beaucoup, mais dont j'apprécierai la compagnie. Je m'approchai en silence, et l'interpela doucement.

"He, contemporain..."

Pour moi, mes mots étaient parfaitement clairs. Et à aucun moment je ne pensai que je devrai m'expliquer. Je gardai cette posture désenchantée que j'adoptais la plupart du temps, et sur mon visage se colla cette expression neutre et morte où mes yeux trites senblaient prendre une part importante.

Invité

La voix ce révélait être celle d'une fille de son âge apparemment, assez timide lui semblait-il. Ses cheveux aux reflets violets cachaient une partie de son visage mais malgré cela, il put voir les yeux mauves qui regardait partout et nulle part à la fois.

"He, contemporain...."

La phrase qu'elle venait de prononcer n'était pas très explicite mais il comprit après quelques secondes de réflexion qu'elle devait chercher un livre contemporain mais que apparement, elle ne trouvait pas le rayon demandé. Il faut dire que trouver quelque chose ici était comme chercher une aiguille dans une botte de foin. Les étagères ameublées et vernies semblait s'étendre si loin que de l'exterieur, on ne pourrait dire que l'étalissement pouvait possèder une bibliothèque aussi grande et majestueuse. On croirait être dans une salle du trône d'un roi tellement les couloirs sont les longs et le moindre pas résonnent dans toute la pièce en provoquant des sifflements significateurs de la part des responsables et surtout du club d'étude, les rats.

"Je ne sais pas." Il hésita dans les mots de sa phrase. "Par là-bas peut-être"

Voyant la mine déconfite et lassée que lui addressait sa colocutrice, il rectifia en disant:

" Peut-être pourrions -nous chercher ensemble? De plus, il faut que je me procure un livre pour en japonais."

Un sourire s'étira lentement et très peu face à lui.

» Kozue Himito