Une arrivé mouvementé [ Libre ]

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Encore et toujours... En retard pour sa reprise des cours... Cela faisait longtemps que la jeune fille n'avait pas courru autant surtout sur une telle distance... Elle courra encore et encore avant d'arriver a côté d'une route, pas le temps de regarder a droite ou a gauche... La flemme plutôt, une flemme qui avait faillit lui couté la vie, la jeune fille n'avait pas vue la voiture qui roullé a toute allure... Elle bondit et arriva sur le capeaux de la voiture, elle tappa de l'autre pieds se qui la fit sauté de la voiture... Elle avait eu du bol mais pour l'attérissage c'était rude... Elle attérit sur le genoux droit... Elle se releva et sentit du sang couler de celui ci... Pas le temps de s'apitoyer sur le genoux, elle courra encore et encore et arriva enfin a la pente ou se trouvait le Lycée " Kenkyukai Gakuen "... Surnomé Kenkuen si Leyna se souvenait bien... Elle avait envoyé sa lettre d'admission et elle était maintenant le capitaine de football de ce Lycée... Et pour son premier jours elle est en retard... Leyna monta la pente puis arriva devant les porte du lycée, elle fut émerveillé par une telle beauté... Mais elle l'avait déja vue alors pas de quoi en faire un plat... Elle entra rapidement en poussant les grille déja fermer puis entra dans le hall... Y avait personnes... Toutes seul, ne savant pas ou allez, la jeune fille s'assit par terre en pleins milieu du hall... Que dire que faire ? La jeune fille commença a s'exiter toute seul a crier dans le hall... Pourquoi y avait personne... Sa l'énervait...

La jeune fille était assise depuis maintenant Vingt minutes, elle en avait marre d'être la seul, elle se leva puis explora un peu l'intérieur du hall, elle aimait, c'était jolie... Plutôt cool quoi... Elle regarda un peu partout puis elle s'adossa a un mur puis soupira tout en fermant les yeux... Elle avait envie d'une clope, pas très jolie sa une sportif qui fume... Elle qui avait arrêter exprès elle avait envie de recommencer... Elle s'assit par terre, fatigué... Elle regarda alors son genoux, elle prix un Kleenex et essuya le sang qui coulait encore et encore... Elle en avait marre, ras le bol d'attendre... Elle se leva et cria...

Y'a quelqu'un ou quoi ?!!

Leyna entendit l'écho raisonné, c'était peut être pas une bonne idée d'avoir hurlé comme sa... Elle se tapa le front, signe qu'elle avait fais une conneries... Elle s'assit par terre, la tête en avant, les cheveux passant devant son visage... Fallait qu'elle attende... Tiens sa sonne... Leyna leva la tête et vit plusieurs personnes descendre... Pourtant aucun ne lui adressait la parole... Ben pas grave... Leyna abaissa de nouveau la tête et attendit... C'est tout se qu'elle pouvait faire...

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[Je m'incruste et je tiens juste à rappeller que ce post et la suite de mon histoire Smile

]

Je me retrouvais seul dans cet endroit qui me dégoûtait tant. Elle était partit, ma douce m’avait quitté et je ne la reverrais jamais. Un long soupir quitta mes lèvres et je ne prit même pas la peine de finir ce qui se trouvait sur le plateau jetant-le tout dans la poubelle. Mon nez se glissa derrière mon écharpe et j’ouvrit la porte, le froid me surpris mais je n’y fit pas attention et repris le chemin vers mon appartement. Mon petit chez moi, un endroit bien tranquille certes pas vraiment luxueux mais très bien à mon goût. J’entris dans le dit appartement pour y retrouver… Personne. Comme d’habitude, il se trouve que c’est sûrement l’une des choses qui me manque le plus du Japon, lorsque j’étais là bas ma mère attendait mon retour et me prenait dans ses bras. Un bref soupir se glissa encore entre mes lèvres mais celui-ci fut stoppé par l’écharpe qui cachait mes lèvres et mon nez. Je ne mis guère longtemps à enlever mon manteau et cette fameuse écharpe pour laisser paraître mon pull-over noir. Mes pieds ne mirent pas longtemps à quitter mes converses, je me rendit dans mon salon, un salon dés plus banal, un canapé, une télé, une table et une petite bibliothèque, et oui, il n’est pas vraiment très grand. Mes fesses rejoignirent le canapé sans un bruit, d’une main agile je réussis à attraper ma télécommande. Mes yeux ne regardaient pas l’écran de la télé mais mon portable posé à côté de moi, j’attendais désespérément entendre le bruit du vibreur qui me dirait que j’avais un message. Prendrait-elle le temps de m’envoyer un sms même seulement pour me dire qu’elle me quittait. Il ne devait pas être plus de 17h, je m’ennuyais et ne savais que faire, j’aurais dut, normalement, passer l’après midi et la soirée avec elle… Il fallait qu’on s’explique elle et moi. Un de mes longs doigts pressa le bouton rouge de la télécommande. Mes fesses quittèrent le canapé et mon portable se glissa dans ma poche de pantalon. Mes chaussures se retrouvèrent, une nouvelle fois à mes pieds. Mon manteau glissa sur mes bras et mon écharpe pris place autour de mon coup pour cacher une nouvelle fois la moitié de mon visage. Ma porte se claqua derrière moi et la clé fit son travail, c’est à dire, fermer la porte. Les escaliers défilèrent sous mes pieds et je quitta l’immeuble pour me rendre quelques stations de métro plus loin. Dans le métro, j’étais serré entre une femme et un homme assez gros qui transpirait beaucoup trop à mon goût. Déjà que j’ai dut mal avec l’humanité alors ça n’arrange rien. Lorsqu’il fut temps pour moi de descendre, je le fis sans attendre. Je ne voulais pas la louper… Une fois dans sa rue, je me demandais ce que j’allais lui dire et ensuite lui proposer, je pourrais l’emmener dans une librairie mais elle me dirait « encore ! ». Cette fille ne me parle que de projets, je ne suis pas comme ça alors je me contente de lui répondre avec de simples « Hm », je préfère l’emmener dans ce putin de Mc Donald et la rendre heureux jour après jours plutôt que lui promettre des choses et ne pas tenir mes promesses. Lorsque je fut en bas de son immeuble je pris mon portable dans ma poche.

Texto :
« Hey Ma belle, regarde par ta fenêtre… »

Je vis apparaître mon ange à la fenêtre, je put distinguer un bref sourire sur ses lèvres, perdu entre ses larmes. Mon cœur se serra, je voulais simplement la rendre heureuse, j’aurais put lui proposer de venir avec moi mais ça serait égoïste, je sais qu’elle aime Paris, elle veut y passer sa vie. Je me vois mal lui imposer de venir avec moi dans ce pays qu’elle apprécie mais pas autant que cette ville où tout est permis…

Texto de la Jeune fille :
« Monte. »

Je m’exécute et franchis le trottoir pour pousser la lourde porte de l’immeuble. J’avais six étages à monter avant de rejoindre l’appartement de ma bien aimée. Ce n’était pas un problème, j’avais gravit ses marches des centaines de fois, des centaines de fois en peu de temps. Il m’avait fallut du temps pour m’y faire mais après quelques semaines c’était naturel. Lorsque je vis la porte de ma belle, je stoppa ma marche. Je n’osais pas, c’était sûrement notre ultime soirée ensemble… Mais ses grands yeux me regardant de sa fenêtre me faisait mal au cœur, je ne réfléchis donc pas plus et j’entra dans son appartement, un appartement chic et luxueux en plein cœur du 16ème arrondissement.

« Ne reste pas dans l’entrée comme ça. »

Sa voix me sortit de mes songes, une voix douce et mielleuse, qu’attendait-elle de cette soirée ? Serais ce honteux d’avouer que jamais je n’ai eu la chance de toucher son corps, jamais je n’ai put la voir nue et la sentir se cambrer sous mes caresses. Un bref soupir se glissa contre mon écharpe lorsque je pris place dans le salon. Elle se trouvait là devant moi, elle portait pour seul vêtement un short et un débardeur tous les deux blanc.

« Arrête de me regarder s’il te plait. »

Mes yeux ne voulaient rien entendre, ses paroles entraient dans une oreille et ressortissaient dans l’autre. Mon dieu qu’elle était belle ce soir, elle s’approcha de moi et s’empara de mes lèvres laissant à mes mains le loisir de caresser ses courbes parfaites, c’était sûr, ce soir elle allait m’offrir son corps pour cadeau d’adieu. J’étais partager entre la joie et la honte, j’allais profiter de son corps parce qu’elle croit ne jamais me revoir. Je ne me fit pas prier et je fis de son corps le mien en toute douceur. Je voyais dans son regard qu’elle avait l’air triste je lui avais même demandé si elle voulait que j’arrête mais elle a refusé. Lorsque tout ça fut finit, nous étions dans ses draps, je la sentais contre mon torse et sentait ses larmes couler lentement sur ses joues contre mon torse.

« Tu pleures ? »
« Non, ce n’est rien.. »
« Je t’ai fait mal ? »
« Non Non ! »
« D’accord… »

Je savais pourquoi ses larmes coulaient mais ça me faisait mal de me l’avouer, je me sépara à contre cœur d’elle, sans un bruit je remis mes vêtements et l’embrassa doucement, son corps nue était toujours dans le lit mais elle s’était endormit. Je lui laissa un petit mot pour lui expliquer que j’essayerais de venir souvent à Paris. Lorsque tout fut prêt, je quitta doucement l’appartement sans un bruit, il devait être 20h tout au plus. Mon ventre se fit doucement entendre. J’avais faim. Je marchais à travers Paris pour la dernière fois avant un bon de temps en tout cas. Je me rendis dans un restaurant, une brasserie, quelque chose dans le genre. Je n’avais pas envie de faire à manger alors je venais souvent ici mais elle était là habituellement. Mon ventre se serra et le repas se passa dans le plus grand des calmes. Après avoir finit et payé, je put regagner mon appartement. Une fois la bas, je serais tranquille, personne ne pourra venir me voir. J’allais me mettre sous la douche quand mon portable vibra.

Texto :
« Ne m’oublie pas, si loin de toi je ne sais pas ce que je vais devenir. J’espère que j’ai été à la hauteur tout à l’heure. Je t’aime tellement Yu… »

« Je t’aime aussi ma belle, je ne t’oublierais pas. Je penserais toujours à toi. »

« Tu sais, tu pourras avoir une copine là bas si tu trouves une fille qui te mérite. »

« Tu es sûre… ? »

« Oui, Yu, tu mérites d’être heureux. Je t’aime, garde mon numéro et rappelle moi quand tu reviens à Paris. Je t’aime. »

Je ne répondis pas. Je me sentais soulagé, je savais qu’elle m’aimait, qu’elle comprendrait. Ma douche se passa sans embrouille, je put donc vite rejoindre mon lit à 21h30, bien trop tôt à mon goût mais je n’arriva pas à fermer les yeux. Habitant dans un appartement, je n’étais pas à l’abris des bruits du voisinage, j’étais entre un couple de jeunes de mon âge et une vielle dame à moitié sourde. J’entendais les bruits de la télé de la vielle dame et les bruits causés par la partie de jambe en l’air du jeune couple. Lorsque mon réveil sonna le lendemain, je ne mit pas longtemps à l’éteindre puisque j’étais réveillé. Je me rendis dans la salle de bain pour me doucher et me préparer. Mes cheveux blonds en batailles et mes yeux verts cernés, le tout entouré de ma peau laiteuse, je ressemblais à un zombie.

« Mon dieu… »

C’est tout ce que je déclara face à mon reflet dans le miroir. Ma brosse à dent quitta le bord de l’évier et le dentifrice coula dessus. Après dix bonnes minutes, la brosse à dent retrouva l’évier, lorsque je fut enfin prêt. Je pris la direction de l’aéroport dans un taxi. Des Avions, trop d’avions à mon goût, j’ai une peur bleue de ceux-ci. Mais je rentrais chez moi, du moins c’est ce que je croyais… Mon portable sonna.

« Allô ? … Oui, c’est moi pourquoi ? Pardon ? Mes études ? Bien. Au revoir. »

J’étais loin de me douter qu’en réalité je n’allais pas retrouver ma mère, cette dernière avait décidé de m’envoyer dans un établissement où je pourrais poursuivre mes études. Si j’avais su, je n’aurais peut être pas décidé de quitter paris mais si ma mère le veut alors je n’ai pas d’autre choix que me plier à ses choix. L’avion qui allait m’emmener à destination arriva, je n’eu d’autre choix que de monter dedans et d’attendre que celui-ci se pose au Japon. Lorsque ce fut le cas, je ne mit pas longtemps à descendre, la terre ferme. Rien de mieux pour moi. Une voiture m’attendait, ma mère avait bien tout prévu, je récupéra ma valise et me rendit dans la voiture, à peine ma porte fermée que la voiture démarra. Lorsque nous arrivions, le chauffeur et moi-même, j’hésita quelques instants à descendre, comme un peu angoissée.

« Ne vous inquiétez pas Monsieur, Tout ce passera bien. » Me dit-il gentiment.

Pour simple réponse je lui adressa un sourire et quitta le véhicule ma valise en main. La voiture laissa derrière elle une simple marque de pneu, j’étais seul du moins je le croyais. J’étais en retard pour ma reprise des cours mais je ne me pressais pas, je profitais doucement de la légère brise qui s’offrait à moi. La sonnerie retentit alors je me décida à entrer dans le hall pour essayer de trouver quelqu’un qui pourrait me guider, au pire des cas je me retrouverais bien tout seul. Mon regard balaya la salle brièvement puis il s’arrêta sur une jeune fille assise sur le sol. Mes pas prirent sa direction et mes jambes cessèrent tous mouvements lorsque je fus devant elle. Je m’accroupis pour me retrouver à peu près à sa hauteur et ma valise rejoignit le sol, mes yeux fixaient ses cheveux qui étaient venus se mettre devant son visage.

« Excusez-moi mademoiselle mais vous risquez de vous salir en restant ainsi. »

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» Entre deux soupirs... [~libre]
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