Chaos en permanence. [FREE]

L'année commençait et voilà que Aiko avait déjà deux heures de trous. Bien-sûr, ça aurait été trop beau si ça se passait le midi. Non, il a fallu que ce soit l'après-midi, après l'heure d'anglais et deux heures avant les maths.
Les maths, une matière bien détestée par la coureuse. Qui comprenait quelque chose aux puissances, aux degrés et autres absurdités, complétement incohérentes ? Personne d'après Aiko. Mais cette fille était un phénomène, complétement déjantée, baba-cool, et tutes sortes d'adjectifs qui qualifient une folle. Folle ? Non pas vraiment. Seulement, Aiko vivait au jour le jour, ne se préoccupant que de l'instant présent et de ce qui se passait en elle. En elle, pas autour d'elle. Intéréssée que par le sport, les garçons, Aiko, n'en à que faire...Jusqu'à il y a quelques mois. Mais passons, ceci est sa vie privée. Donc, passionnée de sport depuis ses trois ans, (Aiko en avait bientôt seize), elle s'était toujours entraînée dur pour faire partie des meilleurs. Plusieurs fois récompensée pour ses temps, Aiko a décidé d'entrer dans Kenkuen pour sa tranquilité....qui n'existe pas. Et elle s'en est vite rendue compte. Puis là, la voilà en train de moisir en permanence alors qu'elle pourrait courir.

*Tous des cons...* Ronchonna celle-ci.

Elle ne supportait pas d'être enfermée, surtout dans une salle si vaste, avec des boulets autour d'elle qui se lancent des boulettes de papier mâché et qui rigolent bêtement. mais c'est normal puisqu'ils sont bêtes. Aiko regarda autour d'elle, histoire de voir qui était des intellos. Le club d'etudes était, d'après la sprinteuse, le club le moins fréquenté. Les "rats de bibliothèques", étaient entièrement à part dans le décor et ne feraient jamais la loi. Mais il n'y avait pas que les "rats", la major partie des bécasses du fan-club étaient là aussi. D'ailleurs c'est de l'une des groupies que partit la boulette de papier mâché qui arriva dans les beaux cheveux de Aiko. Une chose à laquelle il ne faut jamais touché de loin ou de près, se sont bien les cheveux de la présidente du club de sport, et ça, tout le monde le sait. Lentement, pendant que le silence régnait dans la salle perm', Aiko se retourna. Ses éclairs lançaient des yeux et sa bouche formait un rictus d'énervement. Pas très belle à voir si vous vous voulez mon avis. C'est donc lentement, également, qu'Aiko s'approcha de la groupie. Toujours énervée, c'est d'une voix particulièrement froide mais calme que le jeune fille dit :

_Enlève-ça de mes cheveux tout de suite.

Ce qui posait un problème puisque personne n'avait le droit de toucher sa chevelure.

_Mais...euh...euh...Je..Oui, bien sûr !

A peine la fan avait-elle touché un cheveu, qu'elle se retrouva au fond de la pièce. Tout à coup, Aiko, qui avait l'oreille fine, ententid un déclencheur d'appareil photo.

*Asuka !* Hurla intérieurement la coureuse.

Mais elle ne voulait pas s'énerver et alla donc rejoindre son siège. Elle espérait secrétement que la fouineuse de photographe ne vienne pas l'emmerder. A vrai dire, Aiko avait déjà lu des scoops de cette fille, et mieux ne valait-il pas être sa victime. La présidente du club de journalisme était redoutable et s'était vite fait une réputation dans le lycée.

Invité

C'était assez étonnant qu'autant de classes aient permanance à une même heure de cours, les professeurs avaient décidés de fuguer ensemble ou quoi ? La jeune Temi trouvait cela légèrement louche et ses meninges fonctionnaient toujours de la même façon, il devaient y avoir quelque chose de louches qu'elle aimerais bien découvrir grâce a son appareil. Le brunette était assise en fond de classe, près d'une des vitres de la pièce, avec son joujou dans les mains, une telle situation, un regroupement d'autant d'élève vaudrais surement quelques clichés! Il ne faut pas nan plus croire que Temi est du genre à seulement prendre des photos, à avoir les autres pour son contentement, les humilier, et nan ! Elle a un coeur, même si il faut vraiment creuser pour le trouver, elle n'est pas si horrible et est même très sociable et s'entend avec pas mal de gens, sans aller non plus jusqu'a l'amitié. Pas d'action à l'horizon, elle trouvais ça assez dommage, donc elle mis ses bras a plat sur la table puis posa sa tête sur celle-ci, s'apprétant à entrer dans un sommeil à cause de cette situation si soporifique. Sa bouche fit un baillement semblable à celui d'un hippopotame, tellement que ses deux voisins de devant, appartenant aussi au club de journalisme, occupés de la redaction, mais des apprentis seulement, se retournèrent pour voir qui avait pu faire une telle baillement, en voyant leur présidente de journalisme tournèrent de nouveaus leurs têtes en une vitesse éclair et fixèrent leurs tables, n'osant pas ouvrir la bouche. Il est vrai que Temi est du genre à adorer diriger, donner des ordres et faire comme bon lui semble. D'ailleurs elle est toute jeune présidente suite au fait que l'ancienne avait fini ses études. Elle prenait vraiment cela très a coeur et fièrement ! Désormais, elle était connue dans tout l'internnat, et elle en était assez fière même si elle n'avait pas une réputation 100% positive !

Alors que sa frimousse brune, avachie dans ses bras entendit une sorte de " BOUM ", elle se releva instantanément mais dans un calme et discretion absolue, tel un ninja ou une espionne, elle avait pris le coup de main force de l'habitude. Son uniforme flottait légèrement du à la brise que s'en resentait le pièce due au fenêtres ouvertes. Le ruban orange qu'elle portait habituellement en fesait de même et un sourire en coin apparut sur les lèvres de Miss. Asuka. Sans le faire expres, un garçon de 3ème année était tombé sur une fille de 2ème année et tout deux rougissaient, surement de gène, mais certains ne le prenait pas comme cela. Temi s'apprétait à sortir son petit appareil photo numérique dernier cri, mais en voyant un léger attroupement autour se moquer un peu d'eux, elle n'en voyais plus l'intéret, et puis les situations comme celles ci on déja étée vues et revues, et ceux la se font toujours grillés par les photographes du club. Puis alors, elle entendit une autre personne s'énerver, une voix qui lui était familière.

* Môdame je suis présidente du club de Sport, j'arrive jamais à l'avoir, c'est le moment. *

La jeune fille se positionna alors près du tableau après s'êtres déplacée malignement et le "clic" se déclancha bien face au visage de la présidente de sport. On pouvais bien y voir son caractère doux et amincal sur cette photo .. Oh mon dieu ! Que d'ironie ! Suite à cela, la présidente du club de journalisme se mit devant un groupe d'élève du groupe de sport positionnés au premier rang, tous des garçons. Elle se marrait intérieurement en attirant leur attention. Elle leur adressa un clin d'oeil avant de leur montrer la photo.

« Avoir une présidente comme ca... Je vous plaint, vous prenez combien de coups de fouets par jours ?»

Dit elle avant d'imiter le rictus d'Aiko à la perfection sous les rires léger des garçons du club de sport, football ou baseball, peu importe. Puis ensuite la brunette lança un regard à Aiko avant de la regarder avec plus d'attention, faire des sortes de vagues stupides avec ses bras et ensuite continuer d'imiter Aiko en la faisant passer pour une méchante avec toutes sortes de grimaces. Elle attendait simplement une réaction d'elle, voir si elle comptait faire le momie imobile durant des heures. Bien sur ce n'était que de la taquinerie, elle ne la conaissait même pas, pourquoi lui faire du mal sincérement ? Mais elle comptait bien continuer à faire une imitation vraiment éxagérée de cette fille en se trippotant les cheveux.

«Ouuuuuh! J'm'appelle Aiko Sanada puis j'fais vraiment des grimaces à faire peur ! Si tu touches à mes cheveux j'te mattraque ! Et puis ...

Toutes sortes de phrases comme ça, parlent encore et toujours, jusqu'a ce que la présidente ait une réaction ...

Aiko aperçue Temi qui faisait de grands gestes et des grimaces devant les garçons du club de sport. La sportive n'était pas du genre à s'énerver facilement et ce n'était pas maintenant que ça allait commencer. Elle s'approcha discrétement de la photographe, écoutant ce qu'elle disait. Aiko savait que Temi voulait la provoquer, surtout quand elle parlait de ses cheveux. Mais la sprinteuse avait l'habitude de ce genre de remarques et elle y était complétement imperméable. Au lieu de répliquer par la violence, la lycéenne préférait les mots, des mots cinglants, ou du moins dit d'une façon conglante. Le petit sourire que gardait en permanence Aiko, n'avait pas disparu et quand elle s'adressa à Temi, ce fut d'une façon douce et chaleureuse.

_Bonjour Asuka. Tu m'as mise dans la boîte ? Je suis sûre que t'es en train de te foutre de moi là nan ? Je ne savais pas que ton mental était celui d'un enfant de 5 ans. Oui, j'ai fait une grimace en m'énervant mais qui, d'après toi aimerait recevoir une boulette de papier mâché dans les cheveux ? Sûrment pas Miss Présidente-du club-de-Journalisme. Je ne dirai rien de plus, j'ai tellement de répliques méchantes mais gratuites. Sache juste, que tu n'arrivas pas à m'énerver, il te faudrait plusieurs heures voire plusieurs jours pour que j'arrive à ce stade. Si tu veux, tu peux essayer de m'énerver, y a pas de problèmes, mais tu le regretteras !

Puis son regard se durcit et un sourire un peu sadique s'étira sur ses lèvres. Aiko aurait aimé dire des beaucoup plus méchantes mais son calme l'en empêchait. Elle s'éloigna vers son siège en lançant :

_Et puis franchement, fais gaffe à pas leur boucher la vue aux gars avec ta poitrine. T'es sûre que t'y vois quelque chose toi, au moins ?

Puis elle rigola et alla s'asseoir. La boulette de papier mâché n'était plus là mais Aiko se promit de punir la groupie en parlant à Yuri, une amie proche, qui était membre du comité des élèves. Aiko, elle, avait refusé le poste quand on lui avait proposé.

*Bôf, 'faut trop réfléchir et rester derrière un bureau entourée de papiers, je préfère courir.*

Elle sortit un bloc-notes et un crayon. Elle cocha ses meilleurs scores. Ce n'était pas pour rien qu'elle était devenue la Présidente du club de Sport, c'était elle la meilleure du lycée, du moins en athlétisme. Parfois, quand le leader n'était pas là, c'est elle qui donnait des conseils, mais s'occuper de la paperasse, ça jamais. Aiko sourit, fière d'elle. Ses temps s'étaient nettement améliorés. Jetant un dernier coup d'oeil à la furie de photographe, la sprinteuse rigola et replongea dans son bloc-notes. Elle nota les dates de ses prochaines compét', il fallait qu'elle s'entraîne dur. Puis elle sentit qu'un regard pesait sur elle.

*Asuka....Qu'est ce qui lui arrives à cette bécasse ?*

Aiko ne pouvait s'empêcher de la traiter mentalement, c'était plus fort qu'elle. Elle trouvait cete fille tellement stupide à courir après chaque personne, trouver tel ou tel caractère suspect. Mais il en fallait des gens comme ça sur terre, malheureusement, Kenkuen était gâtée avec Temi Asuka. Aiko ne connaissait personne plus pire qu'elle. Peut-être les "Rats de bibliothèque" quand ils s'y mettent et encore... Bref, Temi était vraiment redoutable parfois, même très souvent en ce moment.

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En fait, il n'avait pas fallu lontemps pour que Miss Sanada lui réponde, oui Temi adorais provoquer les gens, elles savaient que la plupart du temps, les gens répondaient assez méchamment, et étrangement, ca l'amusais, toute ces insultes qu'elle pouvais entendre à son sujet, elle savais qu'elle n'était pas parfaite et loin de la ! Temi restait devant les garçons qui la regardait avec de plus en plus d'insistance, c'est vrai, que Temi n'avait pas un physique déplaisant et loin de là ! Elle avait conscience de ses charmes bien qu'elle trouvais une vraie punition dans le fait de devoir porter cet uniforme scolaire qui ne mettait pas les formes voulues en valeur, par contre il mettait la poitrine en avant, vu le regard des garçons, aucuns doutes. Temi avait toujours le regard fixé vers Aiko, les bras le long du cors à présent et la lanière de son appareil photo enlacé autour de son poignet en voyant que Aiko s'apprétait à répondre, aucune expression n'était apparente sur le visage de Temi laissant appareitre une toute petite bouche sans sourire. Elle la traita d'abord de gamine de 5ans, c'était son droit, d'ailleurs ça elle était bien déja au courant et s'en moquait éperdumment, Temi détestais grandir, et se qui l'attendais dans sa vie future lui faisait peur, peut être que cela était en partie la cause qui poussait Temi à faire la gamine, plus le fait que c'était de nature. Et puis on est pas fais pour s'entendre avec tout le monde. Le jeune fille ne répliquait pas et continuait de la fixer tout simplement et les garcons s'étaient retournés vers Aiko et ensuite vers moi, et ainsi de suite pour suivre la suite des évènement, comme préssés et exiter de vois deux filles se battre, chose qui n'arriverai pas d'ailleurs, Temi connait ses limites, sait qand il faut s'arreter, voiyez qu'elle n'est pas remplie que de défauts. Puis la présidente du club de sport marqua un temps d'arret, mais Temi Asuka n'en profita pas pour repliquer, elle savait qu'elle n'en avait pas fini. Alors elle continua ses réfléxion, une ultime pour courroner le tout en parlant de sa poitrine. A ces mots, Temi ne fit que lever son sourcil droit dans un signe d'inconpréhension, elle ne comprenait pas cette phrase, il ets vrait qu'elle a de la poitrine, mais c'est assez normal pour une fille de 16 ans ! Et en plus, elle n'en avait pas tellement que ca ! Sa poitrine était vraiment normale pourtant. Et Temi fit un geste qui fit le même réaction chez tous les garçons de la salle, ils se retournèrent presque tous vers Temi quand celle ci pris sa poitrine dans ses mains, comme pour la peser, elle ne voyais pas pourquoi elle était qualifiée de grosse poitrine par Aiko, elle était normale, bon il était sure qu'elle en avait plus que la pratiquante du sport, mais c'était pas une raison, Aiko n'avait pas grand chose et c'était moins féminin, peut être de la jalousie ? Alors elle continuait de les analyser devant les garçons a demi en train de baver sur elle. A l'aide d'une main libre, elle pris quelques photos pour montrer à quel point les garçons sont des pervers.

« Au contraire j'aimerais bien qu'elle soit un peu plus grosse parfois, elle est normale ma poitrine. »

La brune se stoppa à la deception des garçons et au soulagement des filles puis elle adressa un sourire aux garçons en se grattant l'arrière de la tête. Puis son attention se reporta encore sur Aiko, un regard encore pesant qu'elle devait bien ressentir puis elle marcha jusqu'a sa table d'un pas assez rapide et un léger sourire au coin des lèvres, sans aucunes intentions malsaines et posa avec une grande force à plat ses mains sur la tête pour la forcer à lever la tête vers elle, elle n'aime pas s'adresser à une personne si celle-ci na la regarde pas. Elle fit même l'incrusteuse en prenant une chaise dérière elle et la mettre a la table, en face d'Aiko et se poser dessus et poser ses bras sur la table. Les gens dans la pièce étaient assez stupafait de voir Temi se poser près de la fille après les remarques qu'elle lui avait faites. Elle se gratta un instant le crane avant de prendre un ton calme pour parler.

« Peut être que j'me trompe mais t'as pas l'air super sociable hein ? J'ai pas vraiment compris ta vanne sur ma poitrine mais c'est pas grave, j'en ai plus que toi c'est tout, c'est un atout tu sais, les garçons sont tellements bêtes. Etre plate, appart pour le sport, j'en vois pas l'avantage. »

Elle n'ajouta rien à cela et pris une feuille à un second année pas loin d'elle, une feuille blanche et une crayon à papier, puis elle commenca à faire ses propres occupations. Elle écrivit un titre en gros en haut de la feuille " Les jeunes de nos jours". Elle taca un rectangle au brouillon ala droite de la feuille et commencea à rediger un brouillons, la permanance sert aussi à travailler, et comme tout le monde le sait, Temi se consacre vraiment beaucoup à son travail. Cette article servirait à la photo de la salles remplie de garçons baveux. Elle qui d'habitude bossait ses articles dans l'ordres dont les scoop étaient pris, elle ne semblait pas se préoccuper de la grimace d'Aiko pour le moment et commencait à enchainer les mots sur sa copie blanche il y a quelques secondes ...

Aiko releva lentement la tête vers son interlocutrice. Elle rangea son bloc-notes et dit :

_Tu sais, 'faut pas se fier aux apparences. Sociable ou pas, tu n'en sais rien. Aujourd'hui tout m'énerves dont quelqu'un en particulier. Et puis en quoi ça t'amuses de regarder des gars baver sur ta poitrine. T'essayes de ridiculiser les gens c'est ça ? Que tu prennes des photos, okay, mais des choses utiles, des trucs qui nous informerais de choses qui se passent dans le lycée mis à part, bien sûr, les mecs qui bavent et les bécasses. C'est quoi ton but dans la vie ? D'écrire un magazine qui s'appellera : "Mes photos inutiles" ? Franchement, réfléchis un peu. Parle de la rentrée, j'sais pas moi, tout ce que tu veux sauf de bêtises. Peut-être que ça rendra certaines personnes intelligentes.

Aiko savait que sur cette dernière phrase, Asuka pouvait répondre mais elle s'en foutait. Elle ne lisait que très rarement les arcticles de la fille. Elle les trouvait la plupart du temps d'une stupidité indéfinissable. Puis les bras croisés, au fond de sa chaise, la sprinteuse toisa Temi du regard. Pas un regard hautain mais plutôt d'incompréhension :

_Je te comprends vraiment pas et j'en suis contente. Ridiculiser des gens, 'faut vraiment être cruelle ou dans une pareille situation pour faire ça. 'Fin bon.

Aiko se leva, alla chercher la bécasse qui lui avait jeter une boulette dans la tête, la prit par le bras, l'approcha de Temi et dit avec le sourire :

_Voilà une fille qui serait contente d'être populaire. Elle n'a rien à d'autre à foutre que de se balancer des boulettes de papier mâché. Demande lui combien font 2+2 et toute fière elle te répondra : 4 ! Avec le sourire d'une enfant innocente. Voilà ce qu'il te faut comme victimes. Des têtes vides.

Aiko força la bécasse blonde à s'asseoir sur le siège. Elle lui souffla :

_T'es une fille super sympa et c'est pour ça que tu vas paraître dans le journal.

Puis la présidente se dirigea à une autre table. Elle appela les gars du club de sport, et quand ils furent près d'elle, elle leur dit :

_Vous vous entraînez bien sûr. Les championnats des Lycées arrievnt à grands pas mais c'est rien, vous être chauds! De mon côté j'ai fais deux heures de sport aujourd'hui avec mon emploi du temps chargé, comme vous le voyez. Après vous allez dire que j'suis méchante mais vous ne vous en prendrez qu'à vous même de ne pas vous avoir entraînés et louper la fête des sportifs que je compte organiser pour vous félicitez de votre inscription.

Puis elle commença à parler avec eux, de leur course, de leurs temps en endurance et en vitesse. Temi avait complétement disparue de sa tête.

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Vous êtes vous déjà sentie supérieur à un professeur ? Pour Shin en tout, cas c'était chose faite, il y a quelques jours le jeune homme avait humilié son professeur d'histoire en lui donnant une petite leçon. Certes ce n'était pas le but recherché mais, tout simplement de dire la vérité. Après tout nous sommes ici pour apprendre, alors autant enseigner la vérité. Enfin bon quoi qu'il en soit le voilà coincé aux milieux d'une foule de sauvage. Cris, mouvement brusque tous les faisait ressembler à une bande d'animaux primate et vulgaire. Sur ce jugement il n'y avait aucun sentiment de supériorité mais, il faut dire ce qu'il faut dire...

C'est donc au fond de cette grande salle de permanence ou un ramassis de débilité c'est donné rendez-vous. Ordinateur portable en main il jouait à son jeu préféré "STARCRAFT" il était passé professionnel et gagnait beaucoup d'argent grâce a ça, gare a celui qui le dérange en pleine partie. Et oui on a tous un petit truc qui nous énerve au plus haut point pour Shin c'était ça. Puis, tout c'est bruit c'était vraiment insupportable le jeune commençait à perdre patience. Puis tout le monde se tut comme si des princesses venaient d'entrée dans cet enfer. Mais, a la place ce n'était rien d'autres que deux leadeuses Sanada-san et Asuka-san. Au moins il y avait beaucoup moins de bruit, elles avaient capté l'attention de tout le monde.

Sanada-san était une fille vraiment jolie du moins on se laissait facilement abuser par ses yeux charmeurs alors que Asuka-san c'était plutôt sa poitrine mais, après tout chaque partie de notre corps est une arme de séduction. La leadeuse du club de sport contre celle du club de journalisme. Chacune voulez le pouvoir alors le contrôle de sois même était primordial, certes Asuka-san était à l'affut du moindre faux pas mais, les autres leadeurs ne manqueraient pas une occasion pour étendre leur influence. Une autre chose remarquable chez ces deux filles, le niveau de la discussion, Shin ne s'était jamais rendu compte qu'il était aussi intéressant d'écouter des choses si débiles. Avec tous ces événements notre jeune jeune avait presque oublié de finir sa partie... Presque il écrasât son adversaire avec une facilité déconcertante. On pouvait apercevoir son ennemie écrire "GG" (Good Game) puis il ferma son portable et le laissa sur la table pour écouter attentivement cette discussion sans queue ni tête.

Il voulait déversé un torrent de parole mais, son statut l'en empêche, car un mot de travers et tout pouvait basculer puis, il était tel qu'attirai par ces deux beautés, à chaque fois que les jeunes filles utilisée le mot poitrine il pouvait s'empêcher de sourire timidement. Cette façon de rendre Asuka-san obsolète est magnifique Shin voulait attendre qu'elles disent quelques choses avant de parler mais, pensant parler a voix basse il sortit une de ses phrases :

« L'auto-dérision est une grande force. »

Le jeune Otaku tout gêné baissa les yeux, il n'avait pas peur de la réaction de ses dernières mais, il sentait le fou rire le gagnait l'envie de se moquer était énorme.

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[Hs : Ma poitrine n'est pas GROSSE ! Je sais pas moi, regardez Orihime dans Bleach, c'est pire ! >< ]

Etes vous toujours attentif à ceux qui se passe autour de vous, à n'importe qu'elle heure de la journée ? La plupart des adolescent dans répondrait "non" à cette simple question, mais pour Asuka-san, s'en était bien tout le contraire car sa vocation lui développait l' ouïe et même la vue, cela la rendait plus attentive, tellement que l'on aurait pu l'engager en tant qu'agent secret, d'espionne. Pour certain le journaliste est futile, voir inutile. Et certain trouvais celui de Temi inutile, peut etre que cette plante à pain avait raison tout compte fait, enfin peut etre hein ? Ne nous emportons pas. La jeune demoiselle regardait Sanada-san s'éloigner d'elle, comme si elle la fuyais comme la peste, comment ça " comme ci" ? Bien sur que c'était évident qu'elle la fuyais ! Mais la regarde de couleur Or de Temi ne se détachait pas de Sanada, elle l'observait crier apres ses joueurs baveux. Aucunes expréssions n'étaient visibles sur le visage de Temi, elle n'était en rien bouche bée, la colère ni était pas présente non plus, ni la tristesse, la peine et encore moins la joie, elle était tout simplement neutre et cette fois le regarde de Temi n'était plus vraiment pesé sur la présidente du club de sport, mais plus vers le vide, vers un point qui n'éxistait pas. Puis alors une phrase venant du fond de la classe fut perceptible dans les oreilles de Temi, une phrase d'homme, mais préféra tout simplement ignorer au lieu d'encore chercher des noises à tout le monde. Mais elle se releva d'un coup de sa chaise, dans un fraca pas possible, les poings sérrés, et bien droite comme fière. N'oublions pas que Temi est une demoiselle d'une famille bourgeoise, ayant appris les bonnes manière, à etre gracieuse et élégante dans ses geste, les petites habitudes restaient et certains de ses gestes le montrait même si justement elle essayais de camoufler tout cela. Car tout le monde ignore aussi ici que la jeune brunette est aussi fille d'une grande chanteuse, heuresement que la jeune adolescente est enfin caché des médias à présent, les médias, d'ou elle exerce sa passion. Puis la sortant de sa rêverie, une voix aigue attira son attention, c'était bien sur la fille que Sanada avait placée à sa chaise en lui soufflant un mensonge.

« Alors, c'est pour quand cette interview ? »

Lanca t-elle avec un sourire jusqu'aux oreilles, comme sur-exitée de cette nouvelle de parraitre dans un journal et qu'on s'interesse à elle. Mais Temi était imobile et baissa alors les yeux pour voir l'expression niaise inscrite sur le visage de la fille. Elle ne se donna même pas la peine de réponde et emtama alors uen marche jusqu'au fond de la classe ou les recrues du club de journalisme étaient regroupés. Toujours ces mêmes poings sérrés. Elle avait du mal à l'admettre, mais la présidente du lub de sport n'avait pas entièrement tord. mais ses articles n'étaient pas forcément humiliant pour les autres, il y avait tout de même des choses sur le collège. Une fois arrivée aux tables ou étaient regroupés les membres, elle arraca un journal des mains d'un photographe dont els photos n'étaient jamais bien cadrées. Elle s'assit alors sur une chaise au milieux de tous et croisa les jambes avant d'ouvrir le journal hebdomadaire du lycée, datant de deux semaines. En lisant le sommaire, il ets vrai que ca ressemblait assez à un magazine people sur les gens du lycée, tous les petits potins et tout et ils étaient plus mis en avant que les choses culturels et une seule page étaient consacrés aux nouvelles scolaires du lycée. Alors elle se releva, en gommant Sanada de son esprit et claqua le journale sur la table comme ci la rage montait, provoquant un sursaut chez presque tous les membres regroupés autour, en attirant leur attention. Et la brune pris la parole assez doucement pour que seulement eux entendent et se rapprochent d'elle.

« Demain après midi, réunion à la salle de journalisme, je veux tous vous voir sans exeptions ! Et prévenez tous ceux qui ne sont pas la avec nous maintenant. Je commence à avoir plein de projet en tête la ! La journal parraitra la semaine prochaine dans une nouvelle formule, encore mailleur que le précédent, on équilibrera les sujets dans un but d'abors stratégique, car n'oublions pas que le club doit marcher sur les autres, et pour cela il faut que notre journal plaisent à toutes catagorie d'élèves et même aux professeur et aux personnel ! Il y auras de nouvelle catérogie, vous travailleez d'avantage mais je vous jurent que vous serez fière du résultat ! »

La jeune fille marqua une courte pause et fis alors un petit sourire en penchant la tête sur le coté, ce qui provoqua de l'étonement chez certain, voir leur chef parler ainsi n'était pas habituel. Temi alors se dit que plus de travail signifirait plus de matériel, elle designa alors trois élèves de la mains, des 3ème années :

« Vous, je vous donne le charge de vous rendre à l'administration, au club de jeu, au comité des élèves, enfin ou vous voulez mais nous avons besoin d'un ordinateur en plus, voir deux si possible. Je pense qu'on ne les auras pas gratuitement, enfin visez d'abors l'administration c'est la que vous aurez la plus de chance d'en avoir un. Et si jamais vous allez au club de jeu qui eux sont bourrés d'ordinateur, je pense qu'ils proposerons un défi à un jeux ou se sont les meilleurs donc les chances d'en recupérer un serait casiment nulles, enfin si vous avez une offre quand même prévenez moi. »

Temi designa alors de nouveau deux élèves cette fois, pour un autre boulot cette fois.

« Koyomi-Chan, tu n'est pas très bonne est rédaction c'est pour ça que tu est photographe et tu te débrouille très bien je n'est jamais eu à me plaindre. Alors je te demanderai d'aider Seiji qui est assez nouveau photographe et qui cadre .. vraiment mal, de l'aider à s'exercer, j'ai vraiment besoin de photographe. Et je te demanderai de l'entrainer à faire des photos au terrain de sport dès qu'il y aura un entrainement, car beaucoup de gens en parlent dans els couloirs alors dans le journal une place sera pour informer des progressions des équipes. »

Elle se rasseya à sa chaise et posa sa tête sur la table comme fatiguée d'avoir beaucoup parlé. Et elle ajouta une dernière phrase avant de fermer les yeux.

« J'ai encore d'autres idées mais je vous en parlerais demain ... »

Aiko avait aperçue du coin de l'oeil le regroupement des journalistes. Elle se demandait d'ailleurs pourquoi elle avait convoqué les membres. Puis il y avait un garçon qui l'intriguait avec sa phrase. Elle le reconnu très vite à sa dégaine et son attitude qui ne passe pas inaperçue en classe. Shin Kyokou, le glaçon de la classe. Tout le contraire d'Aiko, qui elle, était un soleil en comparaison. Il avait beau être dans la même classe qu'elle, la sprinteuse avait des cours séparés avec lui. Par exemple, aujourd'hui à cette heure là, il devrait se trouver en histoire-géo. Aiko, elle, n'assistait que très rarement à ces cours. L'histoire-géo la gonflait. Même si c'était une élève excellente, Aiko ne se donnait pas la peine d'assister à des cours qu'elle jugeait inutiles. Laissant les gars du sport penser à leur stratégies, Aiko s'avança vers le glaçon :

_ Quand on parle à des gens, autant leur parler en face
Kyokou. T'es pas censé être en Histoire toi ? Tu t'es fais viré ?

Aiko ne ressentait aucune compassion pour ce garçon, mais c'est d'une voix enjouée qu'elle parla. La coureuse avait toujours du mal à s'énerver ou à parler méchamment. Avec ses 20 pratiquement partout, Aiko s'était vite lassée d'apprendre et était devenue particulièrement insolente avec les profs. Elle leur répondait avec le sourire ou ne répondait, toujours avec le sourire. Elle répondait aux remarques et laissait mariner le prof quand il l'interrogeait. C'est donc moults fois que le jeune fille s'était fait renvoyée. D'ailleurs, Koykou l'avait accompagné une ou deux fois. Puis, elle sortit de ses pensées et remarqua que l'ado avait un sourire en coin.

_Qu'est ce qui te fais marrer Koykou ? Tes phrases sorties tout droit d'un jeu, qui cette fois-ci est philosophique, te fais rire ? Fais donc partager ton sens de l'humour.

Aiko plongea son regard dans les yeux du garçon. Elle mesurait 1M70 , elle était presque aussi grande que lui. C'était ses jambes, grandes, fines, qui étaient hautes. Pratique pour courir un sprint. De loin, Aiko appela Temi :

_He Asuka ! Viens par là ! Y a Koykou qui veut nous faire partager un truc.

La jeune ado ne désirait pas mettre le garçon mal à l'aise, pas du tout, elle faisait ça d'une façn innocente. Enfin pas tout à fait mais bon. Elle redirigea son regard vert-bleu-violet, vers le président du club de jeu.

_Eh ben, dis alors ! Fais pas le timide

Et elle rigola d'une façon amusée..

Invité

Shin détesté captivé l'attention des autres personnes, quelle soit de son club ou non, la seule chose qu'il voulait c'était un silence mérité mais, de toute évidence ce n'était pas pour tout de suite. Il fût tout d'abord surpris et soulager lorsque Asuka-san ne fît pas attention à la remarque du jeune homme, son petit ménage qui ensuivis fût assez distrayant on aurait pu comparer cette jolie brune à un général donnant des ordres à ses petits soldats, âpres ce petit rem-ut ménage elle se reposa la première pensée de Shin fût instinctive.

°Quelle pipelette celle-la.°

Mais, la donne ne fût pas la même lorsque Sanada-san s'approchât, son regard était captivant et terrifiant. Elle avait de très belle forme, l'Otaku ne voulait pas trop parler avec elle. Car, a cout sur tout cela allait ce finir très mal, son caractère est tellement exécrable mais, après hésitation il se décida enfin a placé quelques mots et c'est timidement qu'il le fît :

« Oui censé mais, apparemment le prof et moi n'étions pas d'accord sur quelques trucs et comme il a tort, je me retrouve avec... Vous... »

Le jeune homme était gêné du regard de Sanada-san, il essayait de le fuir en ré ouvrant son ordinateur et faire autre chose mais, elle continuait de parler jusqu'à ce que Shin réagisse enfin avec une pointe d'ironie :

« J'ai dit : L'auto-dérision est une grande force, c'est aucunement ma phrase qui me fait rire mais, juste deux gamines de dix ans en train de faire un boucan pas possible pour un rien. Puis, une dernière chose mon nom c'est Kyokou pas Koykou je me demande si ta payée des personnes toi pour avoir de telles notes et puis en plus... »

Shin voulait absolument en rajouté mais, fût interrompu par un bruit provenant de son ordinateur et comme si Sanada-san ne lui avait adressée la parole il repris son jeu, on pouvait voir un sourire sincère. Il était dans son monde le jeune homme se sentait bien, ce qu'il entourait n'existai plus seule le jeu l'intéressé et il était bien plus difficile de le déloger de son petit cocon de glace. Avant de commencer sa partie le Shin prie une dernière fois la parole

« Tu dis que Asuka-san aime ridiculiser des gens mais, je ne pense pas que tu sois mieux qu'elle »

Invité

- Et oui , c'était sa première premanance depuis son arrivée dans cet internat , qu'il pensait être ennuyant à vu d'oeil . Pourtant , cette premanance n'était pas du tout faite pour un Koala , il y avait tellement de bruit qu'il n'était même pas sûr que ramener sa guitarre , se trouvant à son dos à ce moment même , était d'utilité . Se trouvant devant la porte , à moitié fermée , hésitant à entrer , le jeune garçon attrapa un cûr dents dans la poche de son uniforme , pour le placer entre ses lèvres . Peu après, sa main droite se plaça au bon milieu de la porte pour la pousser d'avantage et s'ouvrir un passage pour entrer dans la salle . A son entrée , les gens se turent , croyant qu'un professeur ou autre venait de faire son apparition . Dans un calme total , avec un air d'ennuis comme d'habitude dessiné sur son visage , de ses yeux cyan , Zenko observait la salle de permanance de de fond en comble . Sa main gauche vint se faufiler à l'intérieur de sa fourure argentée sur son crâne pour gratter l'arrière de sa tête en soupirant . A vu d'oeil , il pouvait observer plusieurs groupes d'élèves , chacun répartis en fonction de leur club . En face de lui se trouvait le club d'études , de vrai tête d'ampoule plongé dans leur livres , à peine distribués . Ils n'avaient même pas fait attention à son arrivée , et tant mieux pour lui car il n'irait même pas leur adresser la parole , par peur de s'ennuyer avec eux . Juste derrière se trouvait un fan club , de garçon plutôt prétentieux de vue , tenant de boule de papiers dans leur mains , avec des sourirs malicieux sur leur lèvres . Ils étaient tous entourés de filles groupies , qui ne cherchait qu'à leur coller aux pattes , le genre de fille que Zenko confondait souvent avec des harpies (xD) . Ne voulant pas rester planté devant tout le monde et être observé par toute la salle , il marchait à pas lents , en prenant pour direction le fond de la salle , du côté des fenêtre , là ou il avait remarqué des pationné de musiques grâce à leur instrument en main . Quelques uns chantaient en douceur , si bas qu'il n'arrivait pas à en distinguer les paroles . Traversant les rangés de table , l'un des élèves qui ne cherchait qu'à se faire remarquer par le monde , plaça son pied sur sa route . Malheureusement pour lui , le jeune Zenko semblait beaucoup plus malin qu'il en avait l'air , et souleva au plus haut son pied pour le poser d'un coup sec sur celui de l'élève qui ne désirait que sa chûte . Ausitôt , Zenko sentit à travers le pied du garçon un craquement d'os , dut au choc de son poids sur son pied . Et un débile de moins , pensait il ! Continuant sa route , toujours avec cet air de zombie inscrit sur le visage , il marchait le long des rangés , ne regardant qu'en face de son chemin , et nul part ailleurs . Le mot "Zombie" fut prononcé fortement dans le coin du fan club , par un garçon aux cheveux bruns , remplis de gêle , et les yeux verts perçants . Zenko n'y pretta même pas attention , pensant qu'il perdrait son temps d'avantage . Soudainement , le jeune garçon aux cheveux argentés , sortit sa guitarre de son dos subitement pour la prendre par l'ambout des accords de sa main gauche , et l'autre au milieu de l'instrument , à la façon d'une raquette de tenis . Il frappa directement sur l'une des boulettes de papier que le garçon venait de lui balancer , celle ci retournant directement en plein fouet sur la figure de son lanceur . Quelques élèves rirent en voyant la scène , mais le contraire pour ceux du fan club . Zenko observait toujours de la même expression l'adolescent qui s'était pris la boulette , celui ci le fixant de son regard preçant d'un air tenebreux . Par la suite , Zenko sortit sa langue pour le narguer , et tendit son pouce vers le garçon . Mais très vite , il inclina son pouce vers le sol , en prononçant ces mots :

- Perdu débile ....

- Le jeune Sozen parcourut son chemin pour enfin arriver dans le coin des musicien , tous avec leur instrument à la main et jouant quelques mélodie . Zenko s'assied sur une table double libre , et posa son sac sur la chaise libre à sa gauche . Par la suite , il attrapa sa guitarre de ses deux mains , et commença à l'accorder , sans faire attention aux peu de personnes qui l'observaient . Il n'était pas ici pour se faire remarquer , ni pour s'ennuyer , mais bien parce qu'il avait un heure de trou dans sa journée . Il ne connaissait pas encore très bien tous les autres clubs du lycée , mais celui avec lequel il avait eut le droit à un "home run" paraissait bien prétencieux , et il haïssait ce genre de personne plus que tout . Vivant dans la simplicité et dans le calme , traîner avec ce genre de personne était synonyme de sucide à ses yeux ...

Invité

Oui, oui, Temi avait le tête tellement remplie d'idées, à se demander si celle-ci n'allait pas soudainement exploser à force. Il est complètement sur que le journal passerai en nouvelle formule, elle en voyait deja la couverture, peut etre avec elle à la une de son propre journal pour expliquer pourquoi ce changement, qu'elles seront les nouvelles idée et les thèmes abordés dans ce nouveau journal, et plein de choses s'en suivrait. A peine Temi Asuka y pensait qu'elle avec deja les yeux fermés et un grand sourire radieux au visage a en faire flipper ses collègues, sa seule hâte serait d'etre à la salle de journalisme, d'envoyer les "bleus" du club avec un expérimenté pour les former, envoyer les photographes et journalistes en mission pour récolter des informations, elle se ferait un papier et y noterai toutes ces idées, mais lorsque qu'elle sera au calme dans sa nouvelle chambre, pas maintenant pour attirer l'attention. Car l'histoire de la nouvelle formule, du changement, rien qu'a en parler dans leur groupe, cela avait attiré quelques oreilles baladeuses et l'information ne tarderai pas de faire un tour de salle, certains sont intérréssés, d'autre se demande si enfin leur groupe aura une place dedans pour avoir de la pub, des "recrues" ? Car la plupart des clubs assez " écrasés en nombres " par les autres et ne rêve justement que de prendre de l'ampleur. Chaque groupe a un caractère différent en majorité de membres, exemple les musiciens sont le plupart des personnes calmes et posée, en général, si cette personne n'est pas spécialisée dans une batterie et t'en défoncer les oreilles. Bref revenons à nos moutons " Behh x3 ". Temi était donc la tête dans les étoiles, enfin tant que cette voix feminine mais casse-bonbon et désagréable du ton qu'elle aavit employé vienne lui traverser les oreilles. Cette fille n'était autre que Aiko Sanada qui l'avait interpellée. Temi n'était pas vraiment du genre à être rancunière .. en général. Mais vu comment Madame la présidente l'avait rembarée et fuis comme la peste, elle n'en voyais pas pourquoi elle l'approchait avec un sourire amical qui, à la seconde même serait de l'hypocrisie, or Temi déteste tout ce qui touche au mensonge ! Donc elle en préféra tout bonnement le silence mais tourna tout de même quelque instant la tête pour savoir pourquoi elle lui avait dite une telle phrase, qu'est ce qu'il voudrais nous faire partager, pour que Sanada-san interpelle Temi, c'était sans doute pour la mini " cherchade d'embrouilles " que les jeunes lycéennes avaient eu l'une envers l'autre. La brunette était toujours à parler en long, en large et en travers au groupe de journalistes et leur donner quelques conseil avant que l'un des membres ne lui demande :

« Dit Asuka-sama, Sanada t'a appelée tout à l'heure et elle est avec le président du club de jeu, mais je ne me sens pas d'aller lui parler pour des ordinateurs ... »

Temi le regarda, les bras le long du corps, la tête droit fixée vers lui et se contenta de lever un sourcil, le membre ne disait rien comme le supliant soudainement du regard pour qu'elle se montre clémente et accepte de le faire elle-même ou d'envoyer quelqu'un d'autre ! Au bout d'un silence complet dans la salle, due à une entrée d'une personne dont Temi ne prêtta pas attention, finalement, elle céda :

« Rhaaa ! Ok mais toi j't'ai à l'oeil et je te demanderai un truc à faire bien plus dur, chochote. »

Puis alors Asuka fit demi-tour su elle-même, faisant légèrement virvolter sa jupe de son uniforme et se diriga vers Kyokou, maleuresement accompagnée de Sanada. La brunette bourge se demanda un instant si les deux personnes avaient des affinitées quelconques, après tout elle ne savait pas de quoi il causait, mais en même temps elle voyais mal Sanada affective envers un garçon. Lorsque que Temi fut sufisemment proche d'eux, elle entendit cette dernière phrase de Shin Kyokou, l'accro de l'ordinateur. Il avait prononcé que Aiko n'était pas mieux que Temi, au moins maintenant elle savait qu'aucune affection n'était présente, car il n'aurait pas prononcé cette phrase sinon, étant donné qu'il ne doit pas porter Temi dans son coeur non plus. Et la jeune fille savait aussi que sa requête qu'elle allait faire était surement a 99% un NON. Mais il restait tout de même ce petit pourcent, alors la demoiselle au ruban orange dans les cheveux posa une de ses mains sur la table du joueur et une autre sur sa taille avant de le fixer dans les yeux avant de lui demander, en toute démocratie, d'un ton neutre et naturel, qui n'était pas du tout froid :

« Kyokou-kun, j'ai un petit, tout petit service à te demander. Dis moi, la salle de ton club est surment bourée d'ordinateurs, tu n'en n'aurait pas un ou deux en rab ? J'ai besoin de matériel, je pense que si jamais c'estle cas je ne les aurais pas gratuits, fais moi au moins une offre. »

Elle tourna ensuite deux secondes sa tête vers la droite, en direction du nouvel entrant, celui qui venait de prendre place avec sa guitare et son cure-dents dans la bouche, il jouait quelques mélodies, mais le truc c'est que l'on avait du mal à les percevoirs, toutes les mélodies dégagées par les instruments des musiciens, donnaient une musique horrible si on les assemblaient tous. Mais ce garcon attirait son attention par rapport aux autres, peu etre était ce visage fatigué, cette coupe et couleur de cheveux originale ? Un léger sourire était inscrit sur son visage, jusqu'a la seconde ou lui aussi tourna son regard vers Temi, son visage prit alors un air sèvère, froncant les sourcils et lui faisant un signe de main en lui faisant signe d'arrêter de jouer pour ne pas rendre l'ambience de la salle désagrable. Puis le visage de Temi se retourna vers le joueur en attendant sa réponse ...

Aiko étéait bléssée. Elle avait fait mauvaise impression et elle s'en voulait. Voyant Temi parler à Kyokou, elle s'éclipsa en murmurant un :

_Désolée.

Elle avait vaguement vu arriver un garçon avec sa guitare. Mais Aiko ne voulait plus discuter, tout son enthousiame s'étant envolé. C'était de sa faute après tout, alors pourquoi se plaindre. Puis dans l'allée menant à sa table, la sprinteuse vit un objet près du garçon qui venait d'arriver. Elle se baissa, ramassa l'objet, qu'elle ne prit pas la peine d'examiner et le tendit au garçon à la guitare avec un triste sourire.

_Tiens, je pense que c'est à toi, ce n'était pas là avant que tu arrives. Tu dois l'avoir perdu.

Puis elle avança lentement vers sa table où elle s'effondra. Pourquoi devait-elle toujours faire mauvaise impression. Elle était tellement sympathique que parfois ça en devenait hypocrite. Mais elle était comme ça, gentille puis après ça devenait soûlant cette gentillesse exagérée et elle se lâchait. A vrai dire, Aiko aurait bien aimé être une rebelle, pas seulement avec les profs, qu'elle faisait déjà bien tourner en bourrique, mais aussi avec les jeunes de son âge, elle aurait voulu s'affirmer C'est pour ça d'ailleurs, qu'elle changer souvent de coupe de cheveux, de couleurs de yeux, de couleur de cheveux, de style vestimentaire. Et puis là, pendant qu'elle était perdue dans ses pensées, Aiko eut le déclic : Elle allait se changer complétement dès demain. Elle allait couper ses cheveux, changer la couleur de ses cheveux et de ses yeux, et son style vestimentaire passerait du baba-cool au punk. Et puis elle avait décidé de se faire un piercing à la langue et aux oreilles. Elle pensait que avec ce nouveau "look" elle s'affirmerait. Tout est une question de mental; pas de fringues. Puis elle regarda le musicien qui venait d'arriver. Ses cheveux étaient vraiment bizarres mais Aiko aimait bien.

"Voilà de l'originalité."

Et elle repartie dans ses pensées, imaginant son prochain visage.