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| | Sora Konoe. | |
| | Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Sora Konoe. Mar 23 Sep - 23:14 | |
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Dernière édition par Sora Konoe le Lun 29 Sep - 18:34, édité 7 fois |
| | | Aiko Sanada Classe 2-A ~ Présidente du Club de Sport ~ [ADMIN]
Nombre de messages : 138 Age : 29 Localisation : Sur le terrain de sport ~ Amis/rivaux/âme soeur : S'aiMeR eest DéJà Assez ComPliQué.. ~ Humeur : ..... ~ Date d'inscription : 29/06/2008
Fiche de l'élève~ Classe: 2-B Chambre: n°1
| Sujet: Re: Sora Konoe. Mer 24 Sep - 19:58 | |
| Ohayô ! Bienvenue très cher membre ! (nan c'est trop soutenu ça). EH TOI ! OUI TOI ! J'te souhaite THE BIENVENUE A KENKUEN ! Finis ta fiche avant que j'te mange ! :3 | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Sora Konoe. Dim 28 Sep - 13:35 | |
| HEy ! OO
Une nouvelle dans mon club, j'ai trop de succes c'est pas possible ! *___*
Bah étant donné qu'il y a déja une présidente, investit ... Tu as le choix entre photographe ou rédactrice ! =3 |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Sora Konoe. Dim 28 Sep - 13:39 | |
| Je poste ici l'histoire de la demoiselle ainsi que la fiche d'inscription parce que Môsieur Forumactif a décrété que mon message dépassait la limite de longueur autorisée. Espèce de vilain méchant tout pas beau, na. >.<' « Etats-Unis, nous voilà. Le co-pilote dit qu'on survole l'océan mais il y a tellement de nuages que je vois rien à travers le hublot. C'est joli, on dirait une mer en coton. Si je saute sur un nuage est-ce que ce sera doux ? Haru marmonne dans son sommeil des phrases incompréhensibles. Il s'est très vite endormi la tête sur mon épaule, à croire que c'est un vrai bébé pourtant il est plus grand que moi. Je ne sais pas si Maman dort, elle a mis le masque sombre que les hôtesses nous ont distribué sur ses yeux. Elle est immobile pourtant ses mains sont crispés sur son nouveau manteau beige. C'est pourtant bien elle qui a voulu qu'on retourne dans son pays natal et qu'on quitte Père - je n'ai pas le droit de l'appeler Papa. Nous sommes le 13 Octobre, nous quittons le Japon pour l'Amérique. J'ai eu huit ans hier et mon seul cadeau a été un poussin en peluche que Haru m'a offert. Ca a toujours été comme ça, Maman ne s'intérresse à nous que lorsqu'on fait des bêtises. Je me demande pourquoi elle nous a pris avec elle. Est-ce que ça va vraiment changer là-bas ? » ------------------------------------------------ Flash-back on : « Maman et Père, ce sont encore disputé ce soir. Ils se sont enfermés dans la cuisine pour pas qu'on les entendent, Haru et moi. Mais ma chambre est juste au-dessus alors je les entends quand même mais je ne comprends pas toujours ce qu'ils disent. Plusieurs fois, j'ai cru entendre mon prénom, qu'est-ce que j'ai encore fait ? Je n'ai pas répondu au maître, je ne me suis pas baggaré avec les garçons et je n'ai pas non plus "oublié" d'aller à l'école alors qu'est-ce que j'ai fait ? Ca y est, ils ont fini de crier. Maman nous apelle pour qu'on vienne manger dans la cuisine et si Haru descend immédiatement, il faut encore que je retrouve mes chaussons. Je les enfile rapidement et me précipite vers les escaliers ; manque de chance Père y est aussi et il me jette un regard furieux qui m'effraie un peu. Dans un mouvement d'humeur particulièrement rageur, il me pousse sur le côté et je dégringole brusquement dans les escaliers. Puis tout devient noir. Lorsqu'enfin je me réveille, la première chose que je vois c'est du blanc. Un plafond entièrement blanc. Puis une touffe de cheveux blonde et indisciplinée suivi de deux yeux vert d'eau s'engouffre dans mon champ de vision. Haru. Il sursaute. Je crois bien que j'ai crié son nom sans m'en rendre compte. Sa voix me parait lointaine, à cause de la morphine d'après lui. J'arrive tout de même à comprendre que j'ai quelques fractures à la jambe droite au niveau de ma cheville. Jambe qui est d'ailleurs soigneusement bandée et maintenue en place par une atèle. Mauvaise nouvelle, je vais avoir droit aux béquilles pendant au moins deux bon mois. Zut. La morphine fait de moins en moins effet, la douleur commence à se faire sentir. C'est à ce moment que mes parents décident d'entrer dans la pièce, en se disputant bien évidemment. Etrangement, Maman prend ma défense. Je n'aurais jamais cru cela possible. Au fond, ça me fait plaisir de voir qu'elle ne me déteste pas. Mais Père, lui, est dans une colère effroyable, il me fait presque peur avec sa voix coléroque et ses gestes pleins de rage. "Si tu n'étais pas une fille, si tu n'étais pas aussi faible, ça ne serait pas arrivé." Je ne suis pas faible. Il n'a pas le droit de dire ça. Je suis aussi forte que n'importe qui. Non, je suis plus forte que les autres filles. Je suis même aussi forte que les garçons. Pourquoi les mots ne sortent pas de ma bouche ? Je voudrais tellement qu'il m'entende. Mais non, il continue à me rabaisser, encore et encore comme si ça ne suffisait pas. Faites qu'il s'arrête. Ca fait mal, bien plus mal que ma jambe. Arrête. Arrête. S'il te plaît. Arrête." JE NE SUIS PAS FAIBLE. " J'ai réussi à le dire. La douleur à l'intérieur s'est un peu atténuée. Prévenue par mon cri, deux infirmières arrivent. Une piqûre désagréable et je replonges dans le noir. » ------------------------------------------------ « L'avion va bientôt atterrir, c'est le commandant de bord qui l'a dit. Haru s'est réveillé, il ronchonne d'une voie encore pâteuse contre ses cheveux en pétards. Maman ne fait plus semblant de dormir, elle s'agite sur son siège comme quand Haru m'a donné mon cadeau et que je devais attendre pour l'ouvrir. Finalement, ça sera peut être différent là-bas. Au fond, je suis contente d'avoir quitté le Japon. Et quand j'y retournerais Père ne pourra plus dire que je suis faible. Plus jamais. Sur ces pensées positives, je dévale la passerelle pour enfin poser le pied en Amérique. Je suis la première mais très vite rejoins par Haru qui se jette littéralement sur moi avec un immense sourire. Maman aussi semble heureuse bien qu'elle doive porter tous nos bagages, heureusement qu'ils se sont pas très lourds. » ------------------------------------------------ « Cela fait désormais quatre ans que nous nous sommes installés à New York. J'aurais préféré vivre dans une ville moins grande et moins polluée mais Maman a choisi la Grande Pomme alors je suis bien obligée de rester ici aussi. Malheureusement pour elle, je ne me suis pas calmée en grandissant. Le collège où j'étudie est mixte et les garçons les plus âgés ont l'habitude de s'amuser avec les plus jeunes, surtout les filles et les fils-à-papa. Inutile de préciser que ça ne m'a guère plu. Bien sûr, au début, je n'avais absolument pas le dessus sur ses brutes sans cervelle mais bardées de muscles. Autant dire que je revenais souvent avec des vêtements sales, voire déchirés et pas mal couverte d'égratignures. Haru avait bien tenté de m'en empêcher mais il s'est vite avéré que ses tentatives soient inefficaces. Maman, elle, ne faisait que me répéter que je l'exaspérais. Et les soirs où elle rentrait tard et de mauvaise humeur, imbibée d'alcool aussi même si elle ne voulait pas le montrer, il arrivait qu'une gifle ou un coup lui échappe. Plusieurs fois, des bleus sont apparus sur ma peau après des soirs comme ceux-là. Mais je ne disais rien, je savais bien que je n'y étais pas pour rien. Entre temps, en plus de devenir une as du combat de rue contre ces primates stupides, j'avais découvert que tout ne m'était pas indifférent. Les morceaux qu'Haru jouaient et composaient faisaient naître en moi des émotions que je ne connaissais pas. Mon frère était un génie, un génie qui me tapait sur les nerfs avec sa gaîté à toutes épreuves et ses côtés puériles mais un génie tout de même. Certes, il avait refusé une place dans une grande académie de musique très élitiste sans vouloir me dire la raison de ce refus. Evidemment ça n'avait pas été du goût de Maman qui a piqué une crise comme elle ne l'avait encore jamais fait, une grande partie de la vaisselle y est restée. "Une fillette exaspérante qui se prend pour un garçon et un adolescent qui se prend pour un gamin capricieux, j'ai vraiment été gâtée." Tu y vas fort, Maman, là. Mais à cause de qui crois-tu qu'on est comme ça ? De toi, Maman. De toi et de Père. C'est de votre faute, à vous les adultes. Qu'est-ce que j'aurais aimé lui cracher ces mots à la figure, seulement... Seulement, je ne l'ai pas fait. Parce que je savais que cela aggraverait encore les choses. Déjà que mon désintérêt de la Danse au profit de la Photographie l'avait blessée, là c'était comme si nous enfoncions le couteau dans la plaie. Sur un coup de tête, elle prit un manteau, son sac à main et sortit de l'appartement en courant presque. Haru retourna dans sa chambre et s'y enferma pour s'entraîner sur un morceau difficile qu'il n'arrivait pas à maîtriser tandis que je m'affalais sur mon lit étalant autour de moi mes clichés préférés. Un petit rituel pour me rappeler que je ne dois céder à Maman. La Photographie, ça m'a presque sauvé. Disons que ça m'a empêché de tomber aussi bas que j'aurais dû. Un sourire discret se dessine sur mes lèvres, je saute de mon lit et vais me réfugier dans la chambre de Haru. Mon véritable sauveur. Celui qui m'a repêché quand je me suis noyée. La personne à qui je tiens le plus sur Terre. » ------------------------------------------------ « De nouveau dans l'avion. Retour au Japon. Seule. Je pars pour mon nouveau lycée, Kenkyukai Gakuen. Je ne suis pas anxieuse, encore moins excitée, j'ai juste sommeil. Ces fichues insomnies ont commencé après cette fameuse dispute avec Maman, depuis je dors très peu le soir du coup je suis fatiguée durant la journée. Alors avec en plus le décalage horaire, j'imagines que ça va vraiment être la galère. En plus, j'ai encore un peu de mal avec les suffixes et les formules de présentations en japonais et évidemment il faut que je rentre en septembre, bien après la rentrée des classes. Enfin, j'arriverais bien à me débrouiller. » ------------------------------------------------ « J'entames ma deuxième année à Kenkuen. J'ai toujours autant de mal avec les suffixes alors je fais à ma manière. L'année dernière, la présidente du Club de Journalisme - l'ex-présidente, quoi - m'a recruté de force parce qu'elle manquait de membre et que j'étais douée selon elle. Ouais, ben il n'empêche que jouer au paparazzi ce n'était pas vraiment quelque chose qui me plaisait beaucoup. Surtout qu'elle me prenait bien la tête, l'autre à vouloir que je l'appelle "Sempai". Remarque, je n'étais pas la seule à ne pas l'apprécier mais les autres au moins étaient plus raisonnables que moi. De toute manière, cette année elle n'est plus là et sa remplaçante est totalement différente. Temi Asuka, une fille qui ressemble beaucoup à Haru, niveau caractère. C'est peut être ce qui fait que j'ai moins de mal avec elle qu'avec l'autre imbécile. Enfin, on verra bien. Demain, c'est la rentrée. Il faut que je finisse mon sac, je n'arrive pas à mettre la main sur mon appareil compact et je sais que si je ne le retrouve ça va m'énerver. Ah, le voilà ... »
Dernière édition par Sora Konoe le Lun 29 Sep - 19:10, édité 4 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Sora Konoe. Dim 28 Sep - 13:40 | |
| Tout les membres du club de journalisme sont mes souffre douleur ! xD |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Sora Konoe. Dim 28 Sep - 13:42 | |
| Mouarff, ils vont en baver. Ça va être bien marrant, je le sens xD |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Sora Konoe. Dim 28 Sep - 14:01 | |
| Bref, J'attend l'histoire ! 8D |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Sora Konoe. Dim 28 Sep - 19:57 | |
| Et voilà, j'ai posté l'histoire =D J'ai enlevé pas mal de choses par rapport à l'histoire de départ mais ça ajoute du mystère xD |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Sora Konoe. Dim 28 Sep - 20:20 | |
| Mes peuvres yeux ! Oo
je lis tout ca ce soir ! xD |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Sora Konoe. Mar 30 Sep - 1:49 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Sora Konoe. Mer 1 Oct - 18:33 | |
| PLOP SALE GARCON MANQUE ! xD
Allez validée en 2-A. Chambre n°3 |
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| Sujet: Re: Sora Konoe. | |
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| | | | Sora Konoe. | |
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