Réconfort nocturne [Pv Temii]

Invité

-Une rude journée pour le jeune Zenko ! Démarrée lors de sa première de cours , qui avait eut lieu à 9 heures du matin , pour une leçon de japonais de la part d'un professeur possèdant un air assez lunatique , qui paraissait familier au jeune garçon . Par la suite , accomapgné de sa classe 3-D dont il n'avait encore parlé à personne , lui et ses camarades de classes penetrèrent dans la salle de musique , l'un des seuls cours qui parvenaient à maintenir éveillé Zenko . Habituellement , il confondait les salles de classes avec un dortoir , et son sac de cours avec son oreillé bien douillé , même que le professeur fut assez surpris de voir une personne lui ressembler mentalement . Le cours de musique s'était bien déroulé , Zenko avait eut l'autorisation d'éxécuter une démonstration de guitarre pour sa classe , qui ne tarda pas à le couvrir d'applaudissement . Celui ci n'eut aucun effet , ni troublé , ni particulièrement heureux , car il avait un point de vue sur la musique différent des autres artistes . Un point de vue assez original , dont il n'avait fait par à personne encore .
-Son arrivée à la cantine fut comme celles de son passé dans son ancien lycée , calme et discret , de sorte à ne pas attirer inutilement l'attention des lycéens sur lui . Il n'en voyait aucune utilité . Si discret que les cuisiniers ne retenaient jamais son nom . Ce jour là , Zenko mangeait paisiblement , dans un coin de la caférériat , éloigné de tous les autres . Il ne s'était fait encore aucun ami dans l'établissement , et la plupart des personnes interessantes qu'il avait pu croisé ne lui étaient familères que de vue . Et part malchance , leur identité lui était méconnue . Le repas de la cantine lui paraissait étrangement bon , pour une nourriture venant d'un internat . De plus , les cuisiniers paraissaient bien sympathique , toujours souriants , sauf le chef , barbu comme un pirate , qui passait son temps à lacher ses nerfs sur les élèves , se plaignant de tout et de rien . Au passage de Zenko , sa colère ne fut qu'un coup de vent sur du fer . Aucune réaction de la part du garçon , à croire qu'il ne le calculait pas du tout !
-Le reste de la journée de Zenko fut assez mouvementé , lors des dernières heures , en dehors de l'établissement , dans les zones sportives . Le garçon n'était pas une personne très motivée pour ce domaine . Leur classe exerçait en ce moment le handball . Tous les élèves se mettaient à 100% pour remporter la victoire , éxepté un garçon aux cheveux d'argent et un air lunatique sur le visage , qui paraissait ancré dans le sol , à sentir le vent passer sur sa peau . Il ne rattrapait aucune passe , ne se donnait même pas la peine d'user ses jambes pour se déplacer plus vite , et ne répondait même pas aux appels de ses camarades . L'un d'eux , une personne qui paraissait très nerveuse , n'hésita pas pas à s'attaquer moralement à Zenko , en le comparant à un Koala fatigué . Celui ci avait répondu d'un Koala avait un meilleur physique qu'un singe énervé qui jouait au handball . La bagarre fut inévitable . Après être séparé par le professeur de sport , le jeune Sozen ne s'en sortit qu'avec plusieurs blessures au niveaux du coups , et un oeil au beurre noir à peine visible . L'autre se bouchait les narrines pour empêcher le sang de couler , des cheveux en moins , créant des trous affreux sur sa tête , et le dos de sa main peinte de rouge et de griffurent diverses . Par la suite , Zenko vu son moral tomber à zéro assez rapidement , et depuis , aucun élèves n'avait pu le revoir ...
-Après être passé dans sa chambre -rangée à la façon d'un garçon c'est à dire un désordre infernal - pour poser ses affaires de cours , le jeune garçon se posa sur son lit à méditer et à penser à tout et à rien . Mystérieusement , son esprit se tourna vers la jeune fille nommée Temii , présidente du club de journalisme . Il avait eut le droit à une interview de sa part , dont il ignorait complétement l'utilité . Toutes les questions posée par cette personne pour Zenko avait été répondue de sa part avec son coeur , et rien d'autre . Les réponses auraient pu être breves , ou assez mystérieuses , il ne regretterait rien . La fille , présidente de ce club , paraissait bien souriante , qui aimait se faire remarquer à vu d'oeil , et qui saisissait toutes les occasions qui lui permettrait d'avoir des informations sur la vie du lycée . Honnêtement , Zenko n'avait rien à reprocher sur son physique , elle lui paraissait pas mal ...
-Revenant à ses esprits , toujours aussi en colère , pour faire passer le temps comme toujours , il attrapa sa guitarre , et la plaça à son dos , prêt à s'en aller de sa chambre pour se poser dans un endroit tranquil et en jouer un peu . Son point de vue sur la guitarre était qu'il la voyait exactement comme un remède . Les personnes atteintes d'une blessures se soignaient avec des désinfectants et des bandages pour empêcher la plaie d'être infectée . Sa guitarre soignait toutes les blessures de son coeur , et attirait le sourir sur son visage comme un émant . En jouer était aussi une grande passion . S'en passer était synonyme de sucide . La guitarre faisait partie de lui même , elle était sa meilleure amie .... En sortant de sa chambre et en croisant une multitude d'élèves d'autres classes et d'autres années , tous en pyjamas ou prêt à partir dans la cafétériat pour dînner , car la nuit tombait déjà au dehors , un temps assez doux avec un peu de vent , le jeune garçon , équipé de sa guitarre de bois , se dirigeait vers les escaliers menant au toit , accessible à tous . Il était sûr qu'au moins , à cet endroit , le calme se manifesterait , et ferrait qu'un avec lui . Il monta très vite les escaliers , pour pousser la porte de fer qui le séparrait du dehors et de l'air libre . Une fois les pieds posés sur le sol du toit , un vent léger et frais vint effleurer les cheveux d'argent de Zenko , et lui frotter le visage de sorte à apaiser ses souffrances morales . Ses yeux cyan se dirigèrent vers le ciel de Tokyo , qui diffusait quelques petites étoiles cintillantes , donnant un effet magique sur ce fond bleu marrine . Après s'être assis sur le sol , et avoir attrapé sa guitarre de ses deux mains , il fallaut quelques minutes le temps que Zenko accorde les sons pour qu'il commence tranquillement à jouer quelques airs de musique , de type plus rapproché de rock , et chantonnait doucement pour ne pas faire entendre lles autres lycéens . Enfin , c'est ce qu'il croyait , car la porte du toit menant à l'étage inférieur ne tarda pas à s'ouvrir dans un léger grincement de féraille ...

*Qui est ce ?*

Invité

Zenko ! Zenko Sozen, ou est-tu ?!

Une jeune fille déambulait dans les couloirs, on pouvait la voir passer d'un batiment à un autre, à en voir son regard qu'elle cherchait apparement quelque chose. Ce quelque chose, c'était Zenko. La jeune demoiselle rafinée et gracieuse criait son nom dans les couloirs pour avoir une chance de réveiller ce paresseux de Zenko. La nuit avait déja montré le bout de son nez, le ciel était foncé, alors comprenez que Temi n'était pas en droit d'hurler ainsi dans les couloirs. Elle se stoppa un instant, une main sur les hanche et l'autre main s'ébouriffant légèrement les cheveux, elle se questionnait sur l'endroit ou il pourrait bien être car elle avait une nouvelle à lui transmettre.Une nouvelle sans doute peu importantpour lui, mais assez pour Temi. Alors cette dernière, ne sachant que faire, restait sur place, elle savait déjà qu'il n'était pas dans son dortoir tel un élève sage. La jeune brunette tenait en sa main un journal, le journal de Kenkuen, enfin ... Kenkuen Journal. Celui du moi d'Aout venait de parraitre et Temi en était assez fière du résultat, fière d'avoir enfin fait une nouvelle formule. Une formule qui parraissait déjà avoir un meilleur succes que le précédent. Tout les clubs, ou presque en avait lu l'exemplaire.Presque car il ne faut surtout pas demander au club manga, pour lui la vie est un manga justement de leur faire lire ça, des gens coupés du monde et dans le leur, en général ... Temi poussa alors un long soupir en regardant le sol, et après celui-ci, sa tête se tourna plus vers le plafond, elle ne savait ou aller; Détestant remettre les choses au lendemain, elle le trouverai. D'ailleur elle trouvais déjà ça surprenant qu'aucun surveillent ne soit venu lui dire de baisser le ton, même carrement de se taire. Pourtant ce n'était pas avec la réussite de la parrution de Kenkuen journal qu'elle aurait tout les droits, si? Puis d'un coup, Temi entendit un sifflement, comme pour l'interpeller, elle se retourna prêt à mettre un coup à celui qui l'avait sifflée ainsi. Puis lorsque qu'elle eut fait 180° sur elle-même, elle rangea son point. Non ce n'était pas Zenko mais un type qui devait lui ressembler moralement vu son regard semi-endormi. Il était vetu d'un simple t-shirt blan et d'un short noir, pieds nus et à l'aide de son index, il indiqua la haut du batiment ... Le toit ? Un grand sourire apparut sur le visage doux de Temi et elle se retourna avant de lacher un entousiasme :

Merci !
De rien demoiselle ...

Puis elle courru de toutes ses forces jusqu'au escaliers qui menaient au toit. Les couloirs étaient déserts, un peu logique à cette heure-ci mais bon ... Le principal c'est que maintenant elle savait ou trouver Zenko. Enfin devant les escalier, elle les montait quatre à quatre pour arriver plus rapidement au sommet. Puis arrivée devant le porte menant au toit, elle se stoppa de nouveau et posait sa main à plat, doucement contre la porte et écoutait au travers. Elle y entendit un air de guitare, un instrument qu'elle aimait beaucoup et qu'elle savait manier depusi petite, grâce à son meilleur ami Seiji. De plus, cette chanson à la guitare, elle la reconnaissait et l'aimait beaucoup d'ailleur. Elle endendait le jeune Zenko chanter doucement accompagné de l'instrument, et elle en fit de même derrière la porte. Temi possédait un talent pour le chant, qu'elle tenait de sa mère célèbre chanteuse d'ailleurs. Elle nemontrait que rarement sa voix mélodieuse et douce mais aussi très bien adaptée pour la musique Rock. Mais elle ne voulais pas suivre le voie de sa mère chanteuse, alors elle avait choisie la voie de journaliste, Temi est une fille au multiples talents. Puis alors, après avoir longement chanté, elle ne jugeait plus nécéssaire de cacher sa présence, elle poussa alors avec une lenteur extrème la porte du toit. Pusi elle la referma doucement dérrière elle et se tena alors gracieusement, le visage tourné vers Zenko, un sourire en coin. Elle était apparut ainsi, se prenant la légère brise du vent de nuit dans les cheveux et les vêtements. La demoiselle gardait toujours ses cheveux bruns, lisses et gonflés orné de son ruban orange quotidien. Elle avait aussi opter pour une robe rouge et lègère .. légère car elle ne possédait pas de bretelles, et ne tenait qu'a la simple force de sa poitrine, puis arrivait jusque mi-bassin-mi-genoux, une robe flottante au vent. Puis aussi des bottes simple, coquettes et blanches montantes jusqu'au genoux, puis apres une multitude de bracelets rouges et blanc ornant ses poignets. Ses yeux or toujours tournés vers Zenko. Puisl'énorme sourire habituel apparut, puis elle se comporta comme si ils étaient deux vieux bon copains. Elle courru vers lui, plein de vie et se msi en position accroupie avant de poser ses mains sur ses épaules, de pencher la tête légèrement vers le gauche et le regarder dans les yeux, tout près de son visage après avoir posé l'exemplaire de Kenkuen Journal sur les jambes de Zenko :

Désolée, par cause de manque de matériel, ton interview parraitra dans le numérode septembre, car j'ai pas voulu prendre de retard sur la parution d'aout. Je pense que tu t'en moque mais je tenais à t'en informer.

Puis elle se releva et tourna les talons et commençea a tourner les talons et marcher en sens inverse, en se retournant une dernière fois :

Pas mal le morceau, je le chantais en même temps que toi dérrière la porte. Je ne vais pas t'importuner plus lontemps, je repars ...

Puis elle continua ses pas vers la porte dans la satisfaction d'une mision accomplie.

[Ca veut pas dire que le Rp est fini ! xD]

Invité

La personne qui venait de s'introduir dans le toit où se trouvait le jeune Zenko encore dans sa mélodie n'était autre qu'une fille, dont le visage n'était que familier au jeune garçon. Cherchant au plus profond de ses souvenirs, celui ci voyait apparaître un visage simillaire au sien, celui d'une jeune fille aux cheveux bruns et les yeux or, la présidente du club de journalisme. Un club que Zenko n'avait aucunement envie de rejoindre et encore moins fréquenter car il n'aimait pas savoir la vie privée de tout le monde. Peut être que ce club n'était pas comme il le pensait, et que ça vu sur celui ci était complétement absurde... Avant même qu'il n'ait pu se tourner complétement pour lui faire face, celle ci s'était déjà accoudée à lui posant ses mains sur ses épaules, et l'observer au plus près possible, sans qu'il ne soit gêner par quoi que ce soit. Certes, il avait de la timidité en lui, mais son esprit fut si lent que son visage aux airs d'ennuis resta le même. La jeune fille qui portait d'après ses pensées le nom de Temi, venait de poser le journal du lycée sur ses genoux, juste en face de sa guitarre de bois, dont il venait de rompre la musique. Elle commençait à lui expliquer qu'elle n'avait pas pu diffuser son intervew dans celui d'Août, car leur club manquait de matériel. Il serait publié dans celui de septembre, sans même qu'il ne puisse répondre par un oui ou par un nom. Personnellement, il n'était pas dérangé du fait que tous les pensionnaires veront son visage dans le journal de septembre. Imaginez le choc qu'il aurait eut de voir sa photo dans un journal qu'il ne connaissait qu'à peine ! Bouche bée, il fixait la fille de ses yeux cyan, près à lui reprocher de sa trop grande initiative, mais la jeune fille, assez active aux yeux de Zenko, s'était déjà redressée pour repartir, en lui disant qu'elle chantait derrière la porte qui menait à l'étage inférieur, sur la mélodie qu'il jouait avec son instrument. Un sourir était près à se dessiner sur son visage, mais la fille fut déjà repartie sur ses pas en flèche pour attraper la poignée de la porte de fer, le garçon s'était légèrement retourné à 180° pour lui faire afce et la regarder d'un air intérrogateur et commencer :

- Hey ... Attends ! Tu t'es deplacée jusqu'ici juste pour me dire ça ? Tu peux rester un petit peu ...

Après ces paroles prononcées, Zenko se redressa sur ses jambes, en rangeant sa guitarre dans son fourreau (je ne sais plus le nom exacte ^^'), l'accrocher à son dos et s'avança lentement vers la jeune fille bien souriante. Contrairement à lui qui ressemblait un un animal sortant d'hibernation, presque totalement ennuyé. Mais son visage ne diffusait pas toujours la vérité ! Depuis toujours, aux yeux des enfants de son âge, il était vu comme un extra-terrestre, une sorte de forme inconnue. Il n'y prettait pas attention, mais le plus grand défaut des humains sur cette terre est que l'Humain a peur de ce qu'il n'a jamais vu, et de ce qu'il ne connait pas. Ce qui peut déclancher certaines émotions, et certains geste involontaire comme des coups ou autres. Zenko en avait reçut tellement, qu'aujourd'hui, se battre contre un boxeur professionel ne lui faisait pas froid aux yeux.
Fixant pendant quelques minutes la fille toujours du même air, celui ci changea aussitôt lorsqu'il se rendit compte qu'il venait presque d'insister pour que la jeune fille rester en sa présence sur le toit. Etait ce la solitude qui le poussait à chercher de la ocmpagnie ? Il l'ignorait complètement, et gêné par ses paroles involontaires, ses joues pririent un teint pivoine, et ses yeux se dirigèrent sur sa droite, dans la direction des haut batiments de lumière situés au centre ville. Ses mains vinrent se cacher dans ses poches, ses cheveux argentés bercés par le vent, pour continuer d'une vois un peu plus grave et posée :

Heu .... Non ce n'est pas ce que je voulais dire ... oups ...

Invité

La jeune Temi, avait eu en tête, ce soir, de se coucher le plus tôt possible, à croire qu'elle devrait remettre cette promesse au lendemain. Même si c'est une chose qu'elle n'aime pas vraiment, remettre toujours tout au lendemain. Mais il est vrai que ce soir elle était de très bonne humeur pour cause d'une exellente journée qui s'était déroulée, ce serait vraiment domage de la terminer maintenant ! Quand le jeune Zenko haussa la voix, la demoiselle Asuka s'arrêtta, les pieds joint, elle restait dos à lui, sans le regarder et se contentait d'écouter ce qu'il pouvais bien avoir à dire. Et c'était finalement une invitation à rester sur le toit ce soir, même si ce n'était pas vraiment ce qu'elle avait prévue, elle pensait plus à un tour à la salle de journalisme pour regarder si photographe ou rédacteur avaient laissé quelque chose dans la salle, ce qui aurait pu la rendre joyeuse d'avantage. Mais rester avec un musicos ne serait pas vraiment déplaisant, surtout qu'elle n'a pas souvent des invitations de ce genre. Elle ne bougeait toujours pas, car au fond elle hésitait longement, elle ne le conaissait pas plus que ça, mais en fait, raison de plus !

Son corps restait toujours autant imobile, telle une statue, une gracieuse statue ... Et seulement sa tête tourna à un peu moins de quatre-vingt dix degrés, les épaules légèrement tournés elle aussi, Temi lançea un regard à Zenko, l'expression plutôt neutre. Elle constatait qu'il s'était levé et avait rangé sa guitare dans sa HOUSE ! ( xD ) Et semblait comme prêt à parir, bien sur,le journal qu'il aait sur les genoux, lui restait à terre sur le toit alors. Elle leva le sourcil gauche, tout en le regardant, c'était donc belle et bien un regard inquiétant qu'elle faisait. Après un long silence et une grande " bataille " de regards entre les deux adolescents, Zenko repris alors la paroles comme s'il se contredisais. Retirait-il son invitation ? C'était le chose qu'elle n'avait pas compris, alors comme d'habitude, elle ne dit rien. Puis elle remarqua que Zenko avait les joues qui rougissaient légèrement, un peu plus que rosies, elle trouvait ça adorable. D'ailleurs un sourire apparut sur le coin de sa bouche devant l'air géné du garçon à la chevelure d'argent. Temi cette fois redevint active et se rapprocha en vitesse du jeune homme pour lui déposer un baiser sur la joue et lui pincer gentiment cette dernière avant de lui lancer un regard pétillant et un visage rieur avant de s'exclamer :

T'es chou quand tu rougit. Je sais pas si ta deuxième phrase voulait dire que tu retirais ton invitation, en plus visiblement tu as l'air d'être prêt à partir,mais moi je vais rester un peu, peût être lontemps.

Temi ramassa aussi en vitesse le journal du mois d'out dont la couverture était à son éfigie d'ailleur, une superbe photo qu'avait pris un de ses apprentis photographe qu'elle entraine de temps en temps entre les murs de l'école, et même dehors parfois. Elle le pris dans ses mains et donna un leger coup sur la tête à Zenko avant d'annoncer :

Ne jamais laisser un Kenkuen Journal à terre.

Puis elle mis son index sous son oeil gauche, et lui tira la langue telle une enfant de huit ans avant de s'assoir, prend place prêt de l'endroit ou était Zenko il y a pas lontemps et posa le journal àcoté d'elle. Puis elle tendis ses mains, comme si elle possédait une guitare sèche invisible dans ses mains. Puis elle commencea à agiter les doigts dans le vide et se mis à hausser le ton pour faire entendre sa belle voix. Bien sur elle fesait ça par plaisir, pas pour montrer à Zenko qu'elle assurait, loin de là. Et elle " joua" et chanta alors le même air que Zenko précédement puis au bout d'une minute 30 environ elle arreta ses mimique et le regard levé vers les étoiles ...

Moi aussi je joue de la guitare, depuis ma primaire ... De la batterie aussi. Et je tiens me voix de ... ma mère ...

Elle y repensa .. sa mère, cette belle femme célèbre dans le monde entier pour ses chansons connues mondialement, cultes. Mais elle cachait bien sur cete identité. D'ailleurs Temi n'est même pas son vrai nom de naissance. Elle seul, ses parents le savent .. Et Seiji...

Invité

Peu après les paroles involontaires de Zenko, la fille, l'une des personnes les plus connues du lycée qui s'était déplacée spécialement pour parler à Zenko, venait de se stopper sur place tel qu'une personne coincé dans un bloc de glace. Pendant un court instant, il pensait avoir réellement dit une bêtise à haute voix, ce qui n'était pas la première fois, pourtant ses joues ne cessaient de prendre de la couleur. Ce ne fut qu'au bout de quelques secondes d'attente dans un silence profond, que le visage de la fille, visible qu'à moitié car son corps n'avait pas bougé d'un poils, se tournait dans sa direction d'un air totalement neutre. Le jeune Sozen restait les mains dans les poches à tourner son regard de gaucher à droite, observer les feuilles mortes d'arbre voler dans le ciel, elles étaient son seul point fixe possible d'observer correctement sans sentir sa timidité se manifaister d'avantage. Pourtant, en seulement quelques secondes, alors que son attention plongé dans cette feuille ocre fanée, la dénommée Temi s'était déjà retrouvée à ses pieds, son visage près su sien, armée de ses lèvres tendues vers sa joue. Au contact des lèvres de Temi sur sa joue droite, Zenko avait une impression d'explosion à l'intérieur de sa poitrine, comme si un terroriste déclanchait une bombe à chaques contacts de la fille sur lui. Après le passage des lèvres douces de Temi sur sa joue rouge, celles ci laissièrent place à ses doigts qui attrapèrent la peau de son visage pour la tirer à la façon des grand mère à la venue de leur petits enfants à la maison. Une situation amusante, qui ne fit tout de même pas sourir le jeune garçon, par peur de paraître ridicule.

Alors que le jeune garçon fut plongé à nouveau dans ses pensées - habitué aux douleurs craniène à force de s'y rendre (xD) - derrière son dos, la présidente du club de journal semblait ramasser son travail avec un air pas très agréable à observer sur le visage, tandis que les images de fleurs défilaient étrangement devant les yeux du jeune Zenko. Jusqu'à celle ci lui mette un coup dans la tête pour lui reprocher de ne pas avoir respecté son travail en laissant son oeuvre au sol. Honnêtement, Zenko avait complètement zappé que le journal était en sa possession, et s'il devait partir, ce bouqin aurait passé la nuit sur le toit du lycée. Une très petite douleur vint s'installer à l'arrière de son crâne couvert d'une chevelure argentée très lisse, si bien qu'il se coiffait que très rarement. La paume de sa main droite vint s'applatir à l'endroit de la douleur, croyant l'adoucir. Les yeux cyan du garçon avaient pris pour cible le visage de la fille, éxécutant une grimace amusante vers le garçon, celui ci possèdant un visage plutôt amusé qu'en colère, sans pour autant former un sourir à l'aide de ses lèvres. Etrange, mais tout simplement Zenko Sozen !

La fille s'était posée à l'endroit où il s'était assis quelques minutes plus tôt, tandis que le garçon s'approchait du rebort pour observer de plus prêt la ville, remplie de lumière diverses toutes eclarcissant les environs du pensionnat, ainsi que l'orée de la forêt située non loin de celui ci. Certaines semblaient mouventes, d'autres s'étaignaient pour laisser place à d'autre lumière différentes ... Les yeux du jeune garçon figé de bonheur, avec un air plutôt posé sur le visage, venaient de se trouver une bonne occupation. L'observation des lumières nocturnes urbaine de la fille dont il ignorait encore le nom. A vrai dire, il ne s'était pas réellement baladé dans les alentours depuis son arrivée dans le pensionnat, et ne comptait pas bouger de celui ci pendant un bon bout de temps, pour raison de flemmardise tout simplement. Alors que son attention s'était complétement éloigné du toit où ses pieds soutenaient son corps appuyé contre la rembarde, une mélodie vint bercer des tympans déjà habitués à toutes sortes de musique, mais celle mélodie avait la particularité d'être chanté non avec la voix, mais bien avec le coeur, une chose que nombreux musicien oubliaient complètement lors de leur prestations. Zenko avait appris à jouer de la guitarre avec son coeur grâce à ses malheurs passés. D'où venait cette mélodie ? Une voix de fille ? Tournant brevement le visage à 90 degrés, et les yeux firent tout le reste du travail, il observait la jeune présidente chanter dans son coin, avec un talent que Zenko n'avait jamais rencontré, dépassant de loin ses esperances pour creer une groupe de musique. Pour chanter ainsi sans problèmes particuliers, le jeune garçon aux cheveux argentés pensait que quelque chose s'était interposé dans la vie de la jeune fille, déposant une grande marque sur son coeur, qui ne partirait peut être jamais ... Après avoir finit de chanter, elle expliquait à haute voix qu'elle jouait de la guitarre de même, de la batterie, et que sa voix avait pour origine celle de sa mère. Son visage levé vers les étoiles, la laisser seul serait égoïste de la part du jeune garçon. La moindre des choses, surtout dans un moment pareil, était d'aller lui tenir compagnie. Ce qu'il ne tarda pas à faire, même si ses jambes tremblaient d'hésitation, que son regard s'était posé ailleur, et que ses joues prirent un teint simillaire au rouge, couelu primaire utilisé en peinture en art plastique. Une fois s'être accroupie à côté de la fille, et de lui avoir posé la main sur l'une de ses épaules, d'une voix grâve, il continua la discution :

- Tu possèdes une voix extraordinaire ! C'est un don que tu as là ... Habituellement, je ne rencontre que des personnes qui se contentent de créer des effets à l'aide de leur voix, alors que toi, tu sais chanter avec ton coeur ... Mais pour chanter ainsi, il a du se passer quelque chose dans ton passé ... Si tu ne tiens pas à le dire, je comprendrais totalement ...

Assis aux côtés de Temi, le jeune garçon observait la ville, se rapellant qu'en étant enfant, les lumières furent la première chose qui attirait son attention, et arrivait à le faire sourir. Plusieurs lumières diverses simillaire à celle des bâtiments de Tokyo, accomapgnées de plusieurs mélodies jouées par Rikyu ... En pensant à ses souvenirs rangés au plus profond des souvenirs, il attrapa son cûre dent spécial entre ses doigts de la main droite, avec un léger sourir sur le coin des lèvres. La raisnpour laquelle son comportement changeait tout d'un coup fut qu'il comptait pour la première fois expliquer la raison pour laquelle il se trouvait toujours aec un cûre dent entre les lèvres. Tournant les yeux vers Temi volontairement pour la première fois, après avoir eclaircit sa voix, il continua d'un ton plus posé et plus agréable :

- J'ai une autre chose pour mon interview ... Tu te demandes sûrement pourquoi je mordille toujours un cûre dent ... La raison est simple: ce cûre dent capture tout ma colère, c'est une sorte d'anti stresse ... Mais assez spécial : il me vide de toutes mes souffrances morales, et arrive à me maintenir posé et relaxé. Souvent, je l'utilise pour jouer de la guitarre lorsque j'ai peur de faire des fauses notes devant un juris ...

Invité

La jeune demoiselle resta alors silencieuse, le regard vide de toutes expressions, tel un pantin. Puis elle se secoua doucement la tête pour sortir de sa sorte de mini-coma. Puis, d'un geste assez lent, elle replia doucement ses jambes contre sa poitrine, se moquant totalement du fait qu'elle soit en robe ou nan, elle ne fit pas attention à ce détail, pas du tout. Puis elle enroula ses deux bras assez fins autour de ses jambes repliées. Puis elle posa alors son menton sur ses genoux et gonfla légèrement ses joues avant de fermer ses yeux or et de pousser un long soupir en vidant complètement ses joues. Le jeune homme avait affirmer qu'elle possédait un don pour le chanson, qu'elle au moins, savait chanter avec son coeur et ne pas faire comme la nouvelle génération de chanteuses à la mode qui "truquaient" leur voix pour y ajouter plus de style. D'ailleurs temi n'aimaitpas ce genre de chanteurs ou chanteuses. La demoiselle se mordit alors la lèvres inférieure, elle regrettait presque d'avoir osé chanter ainsi, devant un inconnu. Car lui semblait vraiment s'interresser d'un coup à la personne de Temi, allant même jusqu'a poser une main sur sa propre épaule qui la fit parcourir d'un frisson dans tout son corps. Il annonca alors que si elle savait aussi bien s'exprimer avec son coeur, c'est quele demoiselle devait avoir un évènement dans son passé qui devait l'expliquer. Surement n'avait t-il pas tors. Mais même si elle voulais expliquer tout cela, elle n'en avait pas le droit, et ne pouvait pas pour des raison qui lui paraissait évidente. Son regard restait fixé sur l'horizon en espérent que Zenko parle alors d'autre chose.

Puis par miracle, c'est ce qu'il fit, il lui parla alors de la raison pour laquelle il possedait toujours ce bout de bois dans la bouche, qu'il avait d'ailleur en même temps d'en parler a Temi. il expliqua que cet objet était comme un anti-stress, un objet pouvantle fair décompresser au moindre trac. Remarque, temi n'en était pas étonnée, ce garçon avait toujours l'air destressé, calme alors elle s'était toujours bien douté que le cure-dent y en était pour quelque chose, il ne lui apprenait rien à vrai dire. La jeune bourgeoise ne répliqua point, par contre, sans bouger la tête, elle tourna ses yeux vers le visage de Zenko tourné lui-même vers le sien. Aucun sourire n'apparut sur le visage de Temi. C'était ainsi, une seconde c'était une vraie pile électrique, et celle d'apres, elle semblait vide de vie. La jeune adolescente alors, tout en le fixant dans les yeux, revint en tête le fait que la chanson venait surement de son passé. Si seulement elle pouvais en parler, cela la délivrerait d'un sacré poids. Mais au risque d'etre découverte, elle devait simplement se taire. Puis alors, sans qu'elle ne puisse le controler, ses yeux devonrent alors humides. Puis l'humidité gagnq du terrain et sans cligner des yeux, toujours ceux cis tournés vers Zenko, une larmes perla alors sur le visage de la jeune fille. Puis une autre, encore une autre et celle fois, elle detourna le regard pour exploser en sanglots. Elle placa ses mains devant son visage pour que Zenko ne voye pas son visage conquérit par les larmes. Elle n'avait pas pleuré depuis des lustres, et encore moins devant quelqu'un. La dernière fois était tellement loin qu'elle même n'en avait pas le souvenir. Mais ce soir la tentation était trop forte, tant pis si Zenko ne comprendrait rien à la scène, elle en avait besoin, coute que coute. Et toujours les mains devant son visage, elle voulu présenter des excuses à son compagnon du soir :

Je suis désolée de me montrer comme ça.

Invité

Observant le visage de la jeune fille orienté vers son visage, celui d'un adolscent ennuyé, interessé qu'à lui même, elle n'avait pas répondu à ses paroles, n'avait pas réagit. Son visage resta le même, un air neutre aux yeux d'or remplis de mystère à résoudre, et d'une étrange tristesse que Zenko ne connaissait pas. Cette tristesse ne demandait qu'à sortir de ces yeux, ce qui ne tarda pas. Cette tristesse débordait au bord des yeux de la fille sous forme de larmes de cristal, qui, on pourrait dire, étaient directement puissées du coeur de cristal de la présidente. Ne comprenant rien à la situation, le jeune garçon tendit légèrement sa main vers l'avant, en prenant pour direction le visage trempé de la fille. Mais à peine avait il eut le temps d'atteindre ce visage pour l'essuyer avec sa main volumineuse, que celles de la présidente du club de journal s'étaient placées sur ce visage pour cacher cette humidité très présente sur cette surface douce qui était sa peau. Toujours incliné dans la direction de la fille, tenant de sa main droite son cûre dent de bois tout mordillé que d'un seul côté, l'autre en parfait état, et son autre main dans sa chevelure d'argent, il avait ses billes cyan qui lui servaient de yeux dirigés vers la fille, avec un air de curiosité dessiné sur son visage, des traits d'expression évoquant plutôt la surprise, car il ne s'attendait pas à voir une personne possèdant un si grand poste dans ce lycée, pleurer à seulement sa deuxième rencontre avec lui. Peu après, elle s'excusa de se montrer dans cet état de tristesse, alors que Zenko n'avait pas fait attention à ses paroles. Il trouvait que s'excuser pour rien, et qu'il était inutile de faire attention à ces excuses. Etrange que certaines personnes se sentaient obligés de s'excuser pour avoir eut une attidude qu'elles pensaient incorrectes avec les autres. A part user sa force sur une personne qui ne le mérite pas, ou user des mots pas très catholiques, Zenko trouvait complètement inutile le sens du mot "Désolé", comme utilisait la jeune Temii à ce moment même. Un léger sourir se formait sur son visage, le moment où il pensait vraiment en avoir l'utilité, un sourir non mîmé par de simples gestes, mais directement par son coeur en personne. Il replaça son cûre dent à sa place d'origine, c'est à dire entre les lèvres du jeune garçon, habituellement fermés pour cause qu'il nétait pas très bavard, pourtant cette fois ci il s'exprimait assez facilement, avec une personne dont il trouvait que le courant pouvait passer assez facilement contrairement à certaines autres personnes complètement plongés dand un délire opposé. Sa main maintenant libre, il attrapa l'une de celle de Temii, avec l'autre de même, pour avoir son visage en face du sien, séparré d'une cinquantaine de centimètres, avec un air de fierté sur son visage de loups. D'une voix grâve, et d'un ton calme et rassurant, il commença :

- Je ne comprends pas le sens de tes excuses ... Tu es libres d'exprimer tes émotions comme tu le sens, et certaines personnes ne le comprennent pas,ce qui pose un réel problème dans ce monde ... Resaisit toi et dis moi ce qui ne va pas, sauf si tu préfères le garder pour toi ...

Etrangement, après avoir prononcés ces paroles, dans le visage de la jeune fille, Zenko trouvait le sien, il y a quelques années auparavant, lorsqu'il venait à peine d'atteindre l'âge d'apprentissage, à son entrée à l'école. Dans ce temps là, il était une personne très souriante, n'ayant pas conscience du danger et de la peur que le monde extérieur lui reservait. Les personnes de sa classes étaient plutôt du genre taquineur, ceux qui passaient leur temps à se moquer de ses cheveux, certains s'étaient même permis d'en arracher quelques hein , et d'autres jaloux de leur originalité, s'en était pris à leur propriétaire. Un monde de brute que Zenko a appris à connaître dès le début, mais se retenait d'exprimer ses émotions, et se contentaient de rester immobile comme un zombie, jusqu'à l'arrivé de son père lors de sa sortie de l'école, le voyant dans tous ses états. Celui ci lui expliqua que dans la vie, il y avait des fois ou il était indispensable de laisser ses émotions s'exprimer toute seules, du moment qu'elles soient positives et justes. Le garçon avait certes mis du temps à comprendre le sens de ces paroles, mais au fil des jours qui suivirent, il appris à rester lui même et à agir lorsqu'il le fallait, et transmettre ce savoir aux personnes dans le besoin lui faisait plaisir ...